Collectif Write Back, Postcolonial studies : modes d'emploiLyon : Presses universitaires de Lyon, 2013.EAN 9782729708573.513 p.Prix 25EUR.Présentation de l'éditeur :A travers la mise en avant de leurs sources plus ou moins reconnues (French theory, subaltern studies de Delhi, traditions intellectuelles d'Afrique noire, cultural studies, écrits anticoloniaux de Frantz Fanon, Chinua Achebe, Aimé Césaire, Albert Memmi) et de leurs connexions avec d'autres champs de recherche contemporains (queer studies, études francophones, black studies), les études postcoloniales sont apparues comme une sorte de laboratoire expérimentant des perspectives pluridisciplinaires : étrangères à toute orthodoxie, elles se placent à l'intersection de diverses problématiques, politiques, linguistiques ou identitaires, non sans une certaine propension à faire retour sur leurs propres fondements théoriques.Le travail proposé ici, par sa dimension internationale et polyphonique, participe à son tour d'un dépassement des étiquettes nationales et académiques rigides : autant de "modes d'emploi" qui invitent à de nouveaux usages des postcolonial studies, de nouvelles explorations esthétiques et intellectuelles, dans les champs de la littérature et du cinéma en particulier.Le Collectif Write Back (en référence à l'ouvrage fondateur de Bill Ashcroft, Gareth Griffiths et Helen Tiffin, The Empire Writes Back, 1989) rassemble les sept membres du "Laboratoire des jeunes chercheurs en littératures et études postcoloniales : les outils théoriques à l'épreuve des textes", créé en 2007 à l'Ecole normale supérieure de Lyon : Florian Alix, Anne-Sophie Catalan, Claire Ducournau, Tina Harpin, Estelle Olivier, Myriam Suchet et Cyril Vettorato.Outre les contributions des membres du collectif, le volume propose des articles de chercheurs de divers horizons, en particulier la traduction inédite d'un article de Graham Huggan et un texte de Kathleen Gyssels.
↧