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Channel: Fabula, la recherche en littérature
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Corps en scène

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Corps en scène autour de La mise en scène du corps sous la direction de E. Chauvet et J. Rouassi, PULIM, coll. "Constellations", 2014 en présence de Christine de Buzon, professeur de littrérature française du XVIe siècle à l'université de Limoges ; Juliane Rouassi, docteure en littérature comparée et chercheure associée à l'équipe "Espaces humains et interactions culturellese à l'université de Limoges ; Frédérique Toudoire-Surlapierre, professeur de littérature comparée à l'université de Haute-Alsace. mardi 9 décembre 2014 à 19 heures Le comptoir des Presses 86 rue Claude Bernard (à quelques pas de la rue d'Ulm) 75005 Paris

Aurélie Thiria-Meulemans, Wordsworth et ses miroirs

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Les ELLUG ont le plaisir de vous annoncer la parution de l'ouvrage : Aurélie Thiria-Meulemans, Wordsworth et ses miroirs.Résonances des mythes d’Écho et de Narcisse , ELLUG,«Esthétique et représentation: monde anglophone (1750-1900)», 2014. ISBN : 978-2-84310-279-0 ISSN: 1957-9683 Prix : 26 € Vous pouvez commander cet ouvrage:chez votre libraire auprès de FMSH-diffusion, 18-20, rue Robert Schuman, 94220 Charenton-le-PontDirectement en ligne sur le site : http://www.lcdpu.fr/ou auprès des ELLUG: http://ellug.u-grenoble3.fr/fr/ Résumé: Wordsworth est-il le poète narcissique du « sublimeégotiste» décrit par Keats? L’étude approfondie de son œuvre révèle la présence, et le refoulement, du double mythe conté par Ovide au livre III des Métamorphoses . Le poète s’admire sans se l’avouer dans les lacs, les fleurs et les doubles rencontrés au gré des vers. Il se rêve également en Echo primitive, résonance fidèle du chant de la nature et non répétition des vers de ses prédécesseurs. Déplorant la perte de ses pouvoirs poétiques dans de nombreux poèmes et bien avant qu’elle n’intervienne effectivement, corrigeant toute son œuvre toute sa vie, pour adapter le miroir des vers à une réalité changeante, Wordsworth cherche par ailleurs à apprivoiser son lecteur, à faire de lui un double docile qui répèterait sans juger, à l’image du poète qui n’admire jamais rien tant que les vers qu’il ne comprend pas. Table des matières Remerciements Avant-propos Introduction Chapitre I Portrait de Wordsworth en Narcisse Chapitre II « Des mots terribles comme le vent / Ou aucun son jamais entendu des montagnes » : l’écho original Chapitre III « Tâche au-dessus de mon talent » : l’écriture et l’obstacle Chapitre IV « Conscient de moi-même / Et d’un autre être encore » : l’inquiétante étrangeté du lecteur Conclusion Annexe I Annexe II Annexe III Bibliographie Sources primaires Wordsworth Sources secondaires Biographies Théorie littéraire, philosophique et psychanalytique Index

Cahiers de Narratologie 10.1. "La voix narrative"

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Référence bibliographique : Cahiers de Narratologie 10.1. "La voix narrative", , 2014. EAN13 : 2914561032. Les dix premiers numéros des Cahiers de narratologie dont le n°1 remonte à 1986 seront publiés en ligne sur le site de la revue électronique hébergée sur Revues.org .Le premier volume du numéro 10, dirigé par Monsieur Jean-Louis Brau et intitulé "La voix narrative" a été édité en 2001. Il contient les actes du colloque international du même nom, qui a eu lieu à Nice les 6, 7 et 8 avril 2000. SommaireJean-Louis BrauAvant-proposMieke BalVoix/voie narrative: la voix métaphoréeArnaud AizierDétimbrage et dissonance dans L’Etranger * de CamusBernard AlavoineQui raconte l’histoire chez Simenon?Originalité du jeu avec la voix et le point de vueSuzanne AllaireLa voix en question: L’Innommable de BeckettPhilippe AndrèsLa figure du lecteur dans les contes de Théodore de BanvilleClément AnimanTradition orale et instance narratrice dans En attendant le vote des bêtes sauvages de Ahmadou KouroumaJean-Paul AubertBrillante porvenir de Vicente Aranda: l’équivocité du discours au service de la liberté intellectuelleVioleta Maria Baena GalléL’ambiguïté narrative dans l’œuvre romanesque de Tahar Ben Jelloun: L’enfant de Sable et La nuit sacréeDante Barrientos TecùnOscillation et dédoublement des voix narratives dans El Alhajadito (1961) de Miguel Angel«Estaba en su corredorcito. Nada era real. Imaginación. Sueños. Cuentos de las criadas viejas*»Jacqueline BernardLe viol du silence et la parole exacerbée: Chronique de la maison assassinée de Lucio CardosoCatherine Berthet-CahuzacEl crimen de la Cuenca de Pilar Mirò: des récits factuels au récit fictifOlivier BiagginiInstance de l’auteur et narration chez Berceo: cohérence de la voix narrativeNicole BiagioliLa polyphonie narrative à l’opéra: Werther , Massenet, «Air des lettres»Michèle BiraudLes voix narratives dans les subordonnées exprimant l’intentionnalité dans les Histoires d’HérodoteBruno BlanckemanJean Échenoz ou le récit ventriloqueBéatrice BlochVoix du narrateur et identification du lecteurMadeleine BorgomanoDuras: Les voix du silenceDenise BoyerUna meditaciòn ou le récit d’un «arrangeur»Carmen Camero PérezL’enseveli de Jean Schlumberger ou l’écriture d’une voix agonisante Adriana Castillo-BerchenkoL’ambiguïté narrative dans Clone de Julio CortàzarJaime CèspedesLe problème ontologique de l’autobiographieCvetanka ConkinskaLe «je» polyphonique du monologue intérieur dans L’Etranger de CamusMarie-Hélène CotoniLa voix narrative dans les Rêveries du promeneur solitaireJean-François CottierVoix narrative d’une conscience: le cas des écrits spirituels d’Anselme de CantorbéryChristèle Couleau«La voix de son maître»La construction du lecteur par le discours auctorial dans Les Etudes de mœurs de BalzacHélène DachezL’écho et l’écart: la voix narrative dans Clarissa (1747-48) de Samuel RichardsonÉvrard DelbeyRhétorique et voix narratives dans les Héroïdes d’Ovide Elisabeth DelrueLa polyphonie narrative: techniques, fonctions, incidences sur la lecture dans El Árbol de la cienca et La Dama errante de Pìo BarojaChristine Di BenedettoLa voix de l’enfant dans les romans de Soledad Puértolas David Muela DìazLe mystère d’AngèleCarmen DuboisLes rapports entre la voix et le point de vue dans les récits de voyage de Camillo José CelaMagali Dumousseau-LesquerPedro Almodòvar, «un homme à plusieurs facettes». Auto-mise en récit et ambiguïté de la personne et du sujet dans Auto-interview (1984)Ma Carme FiguerolaLa voix narrative dans le populaire:Le pont des soupirs et Les amants de Venise de Michel ZévacoVéronique FillolStratégies énonciatives et pratiques d’écriture journalistiques: le portrait dans LibérationFrances Fortier et Andrée MercierSavoir retenu et savoir manquant. Quelques enjeux de la narration omnisciente dans le récit contemporainAlain FourchotteLa dialectique de l’ambiguïté dans le Psaume opus 50c de Schoenberg ou l’ultime réconciliationJosé García-RomeuLa parole dispersée:Respiración artificial de Ricardo PigliaMor GayeLe silence dans Amado Monstruo et El castillo de la carta cifrada de Javier TomeoFlorence GodeauAmbivalence de la voix narrative et effets d’ironie: Bartleby (H. Melville) et Un petit bout de femme (F. Kafka)Elvire Gomez-VidalEl embrujo de Shangai de Juan Marsé: «un cuento chino» Madelena GonzalezL’enfer du langage ou la désorganisation de la lecture dans Le Dernier Soupir du Maure de Salman Rushdie

Fiction littéraire contre Storytelling:Alexandre Gefen/Maylis de Kerangal/Arno Bertina

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//www.fabula.org/actualites/documents/65851.jpgLasixième séance du séminaire-cycle de rencontres "Fiction littéraire contre Storytelling: formes, valeurs, pouvoirs de la littérature aujourd'hui" (CRLC/Labex OBVIL), se tiendra jeudi 4 décembre à la Maison de la Poésie (Paris), à 19h 30 : Alexandre GEFEN s’entretiendra avec Maylis de KERANGAL et Arno BERTINA. Réservation recommandée. Entrée: 5€/ gratuit pour les adhérents de la Maison de la Poésie, les étudiants et sur invitation. La présentation du programme de recherche «Fiction littéraire contre Storytelling» (2014-2016, CRLC/Labex OBVIL) sont disponibles sur le site du CRLC à la page : http://www.crlc.paris-sorbonne.fr/FR/Page_seminaire_detail.php?P1=287

A. Gide - F. Jammes, Correspondance, t. 1: 1893-1899

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//www.fabula.org/actualites/documents/65852.jpgAndré Gide - Francis Jammes Correspondance, tome 1: 1893-1899 Édition de Pierre Lachasse et Pierre Masson. Introduction de Pierre Lachasse Nouvelle édition augmentée Paris: Gallimard, "Les Cahiers de la NRF", 2014 400 pages, 2 ill., 140 x 205 mm ISBN: 9782070147366 28 EUR Présentation de l'éditeur: «Côté jardin, les lettres-poèmes développent l'univers mythique et pastoral où se rencontrent le pâtre et le faune, de Biskra à Orthez, de la Suisse à l'Arcadie, et les lettres d'affaires révèlent l'inlassable générosité de Gide et les inquiètes sollicitations de Jammes. Côté cour, les lettres de critique ouvrent les fissures que masquait le rêve arcadien en confrontant les œuvres et leurs enjeux. Les lettres de polémique, enfin, creusent leur rupture et à la bonne conscience apologétique de l'un répond le refus du mensonge à soi-même de l'autre. Entre ces deux côtés, les lettres-jeux cultivent l'ambiguïté d'une relation sans pareille où chacun joue devant l'autre un personnage comme devant un miroir, miroir du texte qu'on écrit et qu'on lit, miroir du mythe longtemps nécessaire, puis devenu obsolète. Ainsi le lecteur, en tiers clandestin, a-t-il souvent moins l'impression d'une réalité qui se dévoile pourtant d'une lettre à l'autre que d'une œuvre littéraire qui déploie ses sortilèges.» Pierre Lachasse.

Wék wos

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Référence bibliographique : Wék wos, éditions errance / Actes sud, 2014. EAN13 : 9782877725767. Wék wos est une revue d'études comparatives indo-européennes. Elle a pour objectif de présenter au public cultivé les résultats de la recherche dans le domaine de la linguistique et de la mythologie comparée. Elle vise à restituer les prototypes et les réalités qui y sont associées. La revue accueille les articles des chercheurs en ce domaine et s'engage à les publier dans un délai raisonnable : moins de 12 mois après réception du fichier. Wék wos n'est pas la revue d'une école, doctrinale ou doctrinaire, et elle accueille les contributions d'auteurs ayant des positions théoriques différentes ; les éditeurs de la revue limiteront donc au strict minimum leurs suggestions, si nécessaire, et il privilégieront la qualité des démonstrations sur la l'accumulation des références. Les langues acceptées sont le français, l'allemand, l'anglais, l'italien et l'espagnol. Il est recommandé aux auteurs d'utiliser leur langue maternelle ou, le cas échéant, une de ces cinq langues, plutôt que le "globish" (anglais international), ce qui est naturel pour une revue de linguistique. Les articles devront être brefs (pas plus de 20 pages sauf exception, 40.000 signes), dotés si possible d'un résumé de 5 à 10 lignes. Les éditeurs acceptent exclusivement les fichiers adressés par internet à wekwos@gmail.com sous une double forme Word et pdf, composés en TimesNewRoman Unicode, 12 points, et 1 interligne. Les livres et revues pour recension peuvent être envoyés à Romain Garnier, 63, avenue Parmentier 75011 Paris. Sommaire du numéro 1 (septembre 2014) • Jean-Paul Brachet, « Le mérisme urbs arxque »
 • Didier Calin, « L’importance de l’anatolien en poétique indo-européenne » • Patrizia de Bernardo-Stempel, « Indogermanisch *h 2end h-es-ro-s /*-rā , *neyg-sk-ā und ihre Fortsetzungen im Keltischen und den Nachbarsprachen » • Xavier Delamarre, « Notes d’étymologie gauloise » • Romain Garnier, « Italique commun * né=χe=áyud ‘jamais de la vie’ » • Guillaume Jacques, « The word for ‘honey’ in Chinese and its relevance for the study of Indo-European and Sino-Tibetan language contact » • Sophie Magnin, « Nouvelle lecture de l’inscription vénète dite d’Este »
 • Vincent Martzloff, « Nouveaux regards sur l’inscription nord-osque de Herentas (Ve 213 : ST Pg 9 : Vetter 213). Contribution à l’étude du lexique pélignien » • Ranko Matasović, « The Etymology of Lat. frequens and a new PIE Root » 
• Georges-Jean Pinault, « Traum-deutung : étymologie du gr. ὄναρ » 
• Blanca-María Prosper, I - « Some considerations on metathesis and vowel epenthesis in Hispano-Celtic » II - « A text correction of a Latin epitaph from Mutina and a note on Gaulish onomastics in Gallia Cisalpina » • Bernard Sergent, « Un mythe maya et trois contes européens »

Footre alors! Mundialogismes et ballons ronds — Journée de sociocritique

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//www.fabula.org/actualites/documents/65856.pngCentre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes (CRIST) Journée d'étude «Footre alors! Mundialogismes et ballons ronds — Journée de sociocritique» Université de Montréal 17 décembre 2014 Pavillon Lionel-Groulx, salle C-8141 Programme 8h45: Accueil des participants Première séance. Présidence: Marie Parent (Université du Québec à Montréal) 9h00: Jean-François Chassay (Université du Québec à Montréal) «À chaque jour suffit sa peine» 9h40: Flavie Halais , journaliste indépendante «Et le Maracana se tut: les cultures populaires du football brésilien à l’épreuve du Mondial 2014 » 10h20: Pause Deuxième séance. Présidence: Sophie Ménard (Université de Lorraine/CREM) 10h40: Djemaa Maazouzi (Université Charles-de-Gaulle/Lille 3) « One-two-threesme globalisé: effets de contagion des splendeurs et misères du foot algérien » 11h20: Bernabé Wesley (Université de Montréal) «Olivier Adam, Peine perdue : chienlit sociale et gloires du foot amateur» 12h00: Synthèse des travaux de la matinée ( Pierre Popovic )12h10: Dîner Troisième séance. Présidence: Régine Robin (Université du Québec à Montréal) 13h40: Patrick Maurus (INALCO/Paris VII) «Sur quels terrains joue-t-on au foot? ou Le binoclard joue arrière gauche» 14h20: Stéphane Vachon (Université de Montréal) « "Et, à la fin, c'est l'Allemagne qui gagne!"— Gary Lineker » 15h00: Pause Quatrième séance. Présidence: Robert Saletti (Collège Édouard-Montpetit) 15h20: Judith Sribnai (Université du Québec à Montréal) «L'épopée furieuse de Zidane de Castellane, du maigre Mémos de Saint-Denis et du trop petit Finioule » 16h00: Pierre Popovic (Université de Montréal) «L’ineffable joie du buteur à travers les âges » 16h40: Synthèse des travaux de l’après-midi et suites ( Bernabé Wesley )Cette «Journée de sociocritique» a été conçue et organisée par Bernabé Wesley et Pierre Popovic . Elle a bénéficié du soutien du Département des littératures de langue française et des Services de la recherche de la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal, ainsi que de l’hospitalité bienveillante du Centre de recherche interuniversitaire sur lalittérature et la culture québécoise (CRILCQ) Version imprimable

Journée d’agrégation«Comédie et héroïsme féminin»

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Journée d’agrégation «Comédie et héroïsme féminin» 9 janvier 2014 Salle des conférences, Bâtiment B 9h : Accueil des participants et introduction 9h30 : Ghislaine Jay-Robert (Université de Perpignan Via Domitia) « Lysistrata ou l’impossible héroïsme féminin» Après un rappel rapide du contexte et de l’imaginaire grec sur la femme, nous nous poserons la question de savoir ce que peut signifier pour un spectateur athénien du Ve siècle av. J.-C. d’avoir sous les yeux des femmes comme protagonistes. Puis, en replaçant cette particularité dans une étude du genre, nous essaierons de comprendre quel type de héros la femme peut alors représenter et si on peut parler, à son propos, d’héroïsme féminin. 10h : Yen-Maï Tran-Gervat (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, CERC) "Comme il vous plaira : comédie, héroïsme et traits d'esprit" Le trait d’esprit, ou wit , est souvent l’un des signes distinctifs des héros et héroïnes dans les comédies shakespeariennes (car preuve d'éducation, de grandeur d'âme ainsi que de liberté, de générosité de pensée et de comportement), autant qu’un trait du statut spécifique du fou. Les jeux sur les mots viennent également appuyer l'effet dramaturgique du travestissement. Cette intervention se propose d’étudier certains aspects de cette forme d’héroïsme verbal dans Comme il vous plaira , et notamment la manière dont ils éclairent les relations entre l’héroïne travestie, Rosalinde, et les autres personnages de la comédie. Elle nous amènera à examiner certains choix de traduction et de mise en scène. 10h30 : discussions / pause 11h : Céline Candiard (Université Lumière Lyon 2 – GRAC) "Rôles féminins et conventions dans L'Ecole des femmes ". Dans cette étude, qui insistera sur le personnage d'Agnès (et plus secondairement sur celui de Georgette), il sera question de la manière dont Molière a intégré et utilisé de façon originale les contraintes théâtralesqui s'imposent à lui au moment de construire ses comédies. Seront notamment évoquées les caractéristiques de ses comédiennes, les conventions théâtrales (essentiellement comiques, mais aussi tragicomiques), mais aussi la logique de carrière qui est la sienne, et qui l'amène à cette époque-là à changer d'esthétique. 11h30 : Marion Lafouge (Université de Bourgogne – CPTC) "Mirandoline, ou la stratégie de l'actrice rationnelle" Cette étude se focalisera sur le personnage de Mirandoline, classiquement qualifiée d'actrice par excellence: est-il possible de renouveler quelque peu cette approche en examinant cette catégorie de "l'acteur"à partir du concept d'acteur rationnel élaboré par les théories de la décision? 12h : discussions / pause déjeuner 14h : Anne Isabelle François (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, CERC) "Comédie et héroïsme féminin: enjeux genrés et efficacité comique" Il s’agira, dans une perspective comparée et synthétique, d’offrir quelques pistes de réflexions sur la problématique qui croise gender et genre. Le programme articule un genre codifié (la comédie) et son observation d’un côté et le processus d’héroïsation, d’émancipation, l’invention d’une liberté de l’autre, les deux plaçant la (dé)construction des identités de genre en leur centre. Comment penser et mettre en scène cet héroïsme, concept pensé comme masculin, dans le cas de protagonistes féminins et dans le cadre d’expérimentation et de fantaisie que constitue la comédie, espace dynamique de simulations et de subversions? Plus précisément: la femme est-elle une protagoniste de comédie comme un autre? Sa mise au premier plan induit-elle une conduite particulière de l’intrigue théâtrale? 14h45 : discussions 15h : R encontre du jury des épreuves de LGC de l’agrégation de lettres modernes et des préparateurs (réunion restreinte) .17h : fin de la journée Organisation: Carole Boidin ( cboidin@u-paris10.fr ) en partenariat avec la SFLGC

Internationaler Workshop: Kunst der Täuschung - L'Arte dell'inanno - L'Art de la tromperie

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Internationaler Workshop: 03.-06.12.2014 Kunst der Täuschung – L’Arte dell’inganno – l’Art de la tromperie Über Status und Bedeutung von ästhetischer und dämonischer Illusion in der Frühen Neuzeit (1400-1700) in Italien und Frankreich Status e significato dell’illusione estetica e demoniaca in Italia e in Francia dal Rinascimento all’epoca classica (1400-1700) Statut et signification de l’illusion esthétique et démoniaque en Italie et en France de la Renaissance à l’âge classique (1400-1700)

« La tragédie française et les fluctuations de ses marges (1630-1650) », conférence de Georges Forestier

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Le séminaire "La tragédie et ses marges. Penser le théâtre sérieux en Europe (XVIe-XVIIe siècle)" continue. Il a lieu cette année levendredi de 17h à 19h.La prochaine séance se tiendra le 5 décembre,autour d'une conférence de Georges Forestier (Université Paris Sorbonne - IUF) «La tragédie française et les fluctuations de ses marges (1630-1650)» La dernière séance du séminaire se tiendra le 16 janvier, et le colloque final se déroulera du 19 au 21 mars 2015, à la Sorbonne et au Collège d'Espagne. L'entrée est libre et le public bienvenu.

André Vauchez, séminaire d'histoire médiévale de l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

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Présentation : André Vauchez est membre de l’Institut (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres) et lauréat du prix international Balzan pour les Sciences Humaines et Sociales. Il viendra présenter son parcours d’historien de la sainteté et de la prophétie à la fin du Moyen Âge et de spécialiste de l’Italie et expliquera l’orientation de son dernier ouvrage à paraître sur Les hérétiques , dont les étudiants auront eu la primeur. Le débat sera animé par les deux professeurs d’histoire médiévale de l’UVSQ, Pierre Chastang et Bruno Laurioux .Informations complémentaires : Cette séance est ouverte aux étudiants de M1, M2 et doctorat et également au public dans la limite des places disponibles. Lieu : Auditorium de la bibliothèque universitaire 45, boulevard Vauban 78280 Guyancourt

Identités visuelles normatives prises au jeu des dispositifs

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APPEL À COMMUNICATIONS ColloqueIDENTITÉS VISUELLES NORMATIVES PRISES AU JEU DES DISPOSITIFS : Août 2015 Les dispositifs médiatiques et culturels assignent des rôles aux individus à travers des narrations toujours contraintes à respecter d’emblée des cadres genrés prédéterminés. Véritables mises en scène de nos expériences corporelles et identitaires, un bon nombre de dispositifs, d’appareillages, de prothèses sont à notre disposition pour parfaire jour après jour les images d’un soi sans cesse réinventé par ses porteurs. Les différents réseaux socionumériques (Facebook, Twitter, Instagram, ...) nous invitent à reconduire des stéréotypes binaires genrés tout en permettant de twitter son féminisme En effet, certaines catégories genrées sont reconduites en même temps qu’elles se défont le long des dispositifs hypermédiatiques et/ou culturels. Dans une perspective féministe pluridisciplinaire, ce colloque proposera de réfléchir sur les « fils ténus » des dispositifs (Braidotti, Colomb, De Lauretis) comme autant de systèmes de pouvoirs insidieux qui proposent aux individus la liberté de choisir leur genre tout en circonscrivant seslimites dans des tiroirs fermés à clé. Depuis les pratiques performatives des artistes femmes d’hier et d’aujourd’hui qui usent de dispositifs techniques comme autant de stratégies transgressives pour pervertir leurs genres jusqu’aux libertés illusoires des identités facebookiennes , notre objectif est de mieux comprendre comment ces re présentations visuelles peuvent à la fois devenir meurtrières (Maalouf, 1998) et ouvrir des espaces de résistance politique féministe. Notre colloque interrogera les représentations visuelles genrées produites par une panoplie de dispositifs selon les deux axes suivants : Axe 1 : La persistance des identités visuelles normatives dans les dispositifs médiatiques et culturels Ce premier axe abordera la pérennité des catégories genrées dans ces dispositifs et l’assignation de l’individu aux identités normatives pour répondre aux questions suivantes : sous quelles formes représentationnelles se traduit la persistance de ces catégories ? Comment ces dispositifsréussissent-ils à assigner aux individus des identités visuelles normatives sous la couvertured’une liberté de choix identitaire ? Axe 2 : Les dispositifs médiatiques et culturels au service des transgressions identitaires Ce second axe ouvrira le débat sur les perspectives et limites des transgressions identitaires dans les dispositifs médiatiques et culturels pour répondre aux questions suivantes : cesdispositifs sont-ils (ou peuvent-ils encore accueillir) des stratégies de résistance critique pourles féministes d’aujourd’hui? Parviennent-ils à contrecarrer l’hégémonie des pouvoirsinstitutionnalisés ? Sont-ils les miroirs d’un féminisme pluriel et militant ? ******************** Sous réserve de l’acceptation de la proposition de colloque par le 7 e Congrès international des recherches féministes dans la francophonie qui aura lieu à Montréal en août 2015, nousdiffusons cet appel à communications. Pour soumettre une proposition, veuillez envoyer le titre de votre contribution et décrire brièvement (3 lignes) le sujet de votre communication avant le 6 décembre 2014 . Le document doit comporter également votre nom, votre adresse courriel, votre statut, votre département ou votre affiliation institutionnelle. L’envoi d’un résumé de 250 mots de votre communication est prévu pour février 2015 .Veuillez envoyer vos propositions par courriel aux deux responsables du colloque : Liza Petiteau : petiteau.liza@uqam.ca Rania Aoun : aoun.rania@uqam.ca

"Le(s) Commencement(s)", Etudes et recherches en philologie. Série langues romanes

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Référence bibliographique : Studii si cercetari filologice. Seria limbi romanice(Etudes et recherches en philologie. Série langues romanes), Editura Universitatii din Pitesti, 2014. EAN13 : 18433979. Parution novembre 2014: «Studii si cercetari filologice. Seria Limbi Romanice» Editura Universităţii din Piteşti ISSN 1843-3979 16/2014 Le(s) Commencement(s) La revue «Studii si cercetari filologice. Seria limbi romanice » (« Etudes et recherches en philologie. Série langues romanes ») est une publication bi-annuelle qui accueille des travaux originaux dans le domaine des études littéraires et linguistiques, en français, espagnol, portugais et italien. Initiée en 2007 par un groupe d’enseignants et chercheurs provenant du Département de Langues Romanes, personnes qui ont constitué par la suite le comité rédactionnel, la revue est placée à partir de 2009 sous le patronage de L’Ecole doctorale de la Faculté des Lettres de l’Université de Pitesti, restant toutefois un organisme totalement indépendant, avec une politique rédactionnelle et éditoriale gérée uniquement par le comité rédactionnel. Notre revue s’inscrit dans une longue tradition universitaire et jouit de collaborations prestigieuses. Notre publication se veut un espace de convergences des idées, réunissant dans une égale mesure des approches théoriques et analytiques, internationales et interculturelles. Sommaire Le(s) Commencement(s) Abdellatif El Azouzi - Quand le voyage a-t-il commencé? Philosophie de la genèse nomade , p.7 Utzima BENZI - Doctrine et topique de l’exorde dans la Nnouvelle rhétorique» de Joseph-Victor Le Clerc, p. 18 Juliette Le Gall - Titres et incipit : «seuils» et «passages» dans la construction de l’espace romanesque: Les Mystères de Paris d'Eugène Sue , La Casa ispirata d'Alberto Savinio, p. 33 Corina-Amelia GEORGESCU - Les incertitudes d’un commencement: Enfance de Nathalie Sarraute, p. 47 Diana-Adriana LEFTER - Au commencement, ce fut la femme. Mythe et histoire dans Todos los gatos son pardos de Carlos Fuentes, p. 57 Huei-Chen LI - Etude du signe «pied-de-mouche» dans le manuscrit Arsenal 3489, p. 72 Loredana Trovato - Au commencement était la tranchée. Le rôle des textes préliminaires des Journaux de tranchées dans la construction/divulgation de l’ethos du combattant, p. 88

La Haine de Shakespeare

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La Haine de Shakespeare 3-5 décembre 2015 – Université de Paris-Sorbonne Colloque international organisé par le PRITEPS (Programme International sur le Théâtre et les Pratiques Scéniques) à la Maison de la Recherche, 28 rue Serpente 75006 Paris Shakespeare a le rare privilège de n’avoir jamais quitté la scène, d’avoir été très vite proposé comme un modèle du théâtre universel, parlant à toutes les époques et toutes les cultures – bref d’être «notre contemporain» (Jan Kott). Mais l’admiration n’est pas sans partage. Avec des «traits sublimes», Hamlet est, pour Voltaire, sorti de «l’imagination d’un sauvage ivre». Entre le sauvage ivre et l’éternel contemporain, où situer Shakespeare? Après les célébrations du centenaire, c’est sur le revers de la médaille qu’il convient de se pencher: sur toutes les formes d’insatisfaction, voire de désaveu, qui poussent à réécrire, transformer, manipuler, massacrer le grand homme. Il ne s’agira pas de faire une histoire des réécritures, en considérant la simple transposition dans une autre aire culturelle ou la nécessaire adaptation à un contexte nouveau. Nous nous intéresserons aux réutilisations de toutes sortes en réfléchissant aux formes de refus qui leur sont inhérentes, et tenterons de cerner ce qui, jusque dans l’hommage, se glisse de réticence, de résistance, voire de rejet profond. Nous souhaitons des interventions portant sur toutes les périodes, toutes les aires culturelles, tous les media. Elles pourront prendre des directions très diverses.L’hostilité déclarée («Bard-bashing») telle qu’elle s’exprime dans des pamphlets, des essais critiques ou des commentaires – chez les contemporains de Shakespeare (Greene, par exemple) et plus tard chez John Dryden, Thomas Rymer, Voltaire ou dans le tollé qui a accueilli les comédiens anglais à Paris en 1822 ou encore Léon Tolstoi. Au XXe siècle, le «Shakespeare trashing» est un art qui a été cultivé avec raffinement par des gens aussi différents que George Bernard Shaw, T.S. Eliot et plus récemment, sur la scène américaine, Charles Marowitz, par exemple. On pourra également penser à la critique féministe et aux approches culturelles de Shakespeare qui renvoient dos à dos élitisme et culture populaire.Les aléas de l’œuvre, passant dans les mains d’éditeurs et de commentateurs qui cherchent à la débarrasser de scories intolérables, qui réaménagent le texte, bien avant la bowdlerization , ou qui rejettent une partie de l’œuvre comme indigne (les horreurs de Titus Andronicus ), jusqu’à ce que, à partir du XIXe s., les querelles sur la paternité ne cherchent à arracher la totalité de l’œuvre à un acteur indigne d’un tel monument.Les réécritures, traductions et adaptations, quand les modifications opérées servent non seulement à mettre l’œuvre au goût du jour (Nahum Tate et bien d’autres) ou à la rapprocher d’un public et d’une culture différents, mais impliquent une violence assumée. Il n’y a guère de réécriture qui ne soit ambivalente, puisque la réécriture implique l’inadaptation ou l’insuffisance du modèle. Dans les réécritures contemporaines (Brecht, Stoppard, Bond, Barker, Heiner Müller, Deutsch, Botho Strauss, etc.) cette ambivalence prend une forme volontiers agressive. Et les adaptations qui sciemment maltraitent la langue de Shakespeare? L’aplatissent-elles pour la mettre à la portée d’un public d’aujourd’hui ou dans le dessin affiché de lui régler son compte?Quant aux réécritures de plateau (Vincent Macaigne, Jean-Michel Rabeux, Thomas Ostermeier, Angelica Liddell, etc.) avec qui règlent-elles leurs comptes? Avec la société, avec le public, avec le théâtre ou avec Shakespeare? Après la génération des metteurs en scène du texte, puis celle des metteurs en scène sans texte, celle des metteurs en scène qui prennent un texte pour le dynamiter. Mais on aurait tort de croire que le démembrement de Shakespeare soit une invention contemporaine: on pense aux «drolls» de la période du Commonwealth comme Bottom the Weaver (1646?) qui assure au Songe d’une nuit d’été une existence clandestine mais néanmoins fragmentaire; en 1723, Charles Jonson fait jouer Love in a Forest , où As you like it fournit le cadre vaguement narratif à une fricassée de fragments de comédies et même de tragédies de Shakespeare. Après tout, en intitulant ainsi sa comédie, Shakespeare n’invitait-il pas à en faire n’importe quoi?Le personnage de Shakespeare n’est pas épargné. On veut bien croire que la mièvrerie est une forme d’admiration ( Shakespeare in love ), mais le Shakespeare dépressif et suicidaire de Bond ( Bingo ), l’identité mouvante développée par Mark Rylance ( I am Shakespeare ) ou encore par Roland Emmerich ( Anonymous )?On pourra, bien sûr, poursuivre l’enquête «hors les murs», dans les réutilisations non théâtrales: les réécritures narratives – et en particulier les réécritures policières –, les réutilisations cinématographiques ( Looking for Richard ). Il est sans doute difficile de soupçonner, dans la Boydell’s Shakespeare Gallery, les traces d’une intention sacrilège, mais on peut se poser la question pour l’abondante iconographie shakespearienne ou encore pour les propositions de plasticiens contemporains tels que Damian Hirst et ses crânes. Vous êtes invités à envoyer vos propositions accompagnées d’un résumé et d’une courte notice biographique pour le 15 janvier 2015 à Elisabeth Angel-Perez ( eangel@wanadoo.fr ) et à François Lecercle ( francois.lecercle@wanadoo.fr ).

O. Rey, Une question de taille

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//www.fabula.org/actualites/documents/65863.gifUne question de taille Olivier Rey DATE DE PARUTION : 08/10/14 EDITEUR : Stock COLLECTION : Les essais ISBN : 978-2-234-07765-2 EAN : 9782234077652 PRÉSENTATION : Broché NB. DE PAGES : 272 p. Nous mesurons tout aujourd'hui, des volumes de transactions à la bourse aux taux de cholestérol, de la densité de l'air en particules fines au moral des ménages. Mais plus nos sociétés se livrent à cette frénésie de mesures, moins elles se révèlent aptes à respecter la mesure, au sens de juste mesure. Comme si les mesures n'étaient pas là pour aider à garder la mesure mais, au contraire, pour la faire oublier. Au point où nous en sommes, il serait urgent de revenir de cet aveuglement. Mais pour cela, les exhortations ne suffisent pas : il faut d'abord mettre au jour la matrice intellectuelle qui induit cette cécité, faute de quoi, tous les efforts pour remédier à nos maux demeurent vains, et risquent de nous conduire plus sûrement à l'abîme.Ce livre s'attache à décrire et comprendre par quelles voies, au cours des derniers siècles, nous avons perdu la mesure. Et aussi ce sur quoi nous pourrions nous fonder pour la retrouver. Si les penseurs modernes ont généralement méprisé les questions d'échelle, de taille, considérées comme en dessous de leur dignité, il serait temps de comprendre que la taille n'est pas un simple paramètre, qu'il serait loisible de faire varier à volonté, mais qu'elle change tout. Qu'il s'agisse de nos rapports à la nature, de la politique ou de l'éthique, il est impératif d'en tenir compte si l'on entend mener une vie authentiquement humaine, et éviter que tout soit détruit. Olivier Rey est chercheur au CNRS, mathématicien et philosophe. Il a enseigné les mathématiques à l'École polytechnique, et enseigne aujourd'hui la philosophie à l'Université Panthéon-Sorbonne. Il est l'auteur de plusieurs essais : Itinéraire de l'égarement. Du rôle de la science dans l'absurdité contemporaine (Le Seuil, 2003), Une folle solitude. Le fantasme de l'homme auto-construit (Le Seuil, 2006) et Le Testament de Melville (Gallimard, 2011). Il a également publié deux romans, Le bleu du sang (Flammarion, 1994) et Après la chute (PGDR, 2014). *

"Deux visages de l'Astrée": mise en ligne de la troisième partie de L'Astrée d'Honoré d'Urfé

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//www.fabula.org/actualites/documents/65868.jpgUne nouvelle version de Deux visages de l’Astrée, mise en ligne le 1er novembre 2014, se trouve à l’adresse: http://astree.tufts.edu .Cette nouvelle version donne à lire notamment la troisième partie de L’Astré e dans les éditions de 1619 et 1621.

Études françaises, 2014: «Volume jubilaire», n° 3 (F. Gingras dir.)

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Dans le cadre de son cinquantième anniversaire, la revue Études françaises publie le troisième numéro de son «Volume jubilaire» ( le numéro double 1-2 ayant paru à la fin de l’été ). Sous la direction de Francis Gingras, ce numéro propose six articles: Francis Gingras «Cinquante ans d’ Études françaises » Martine-Emmanuelle Lapointe «Faire la littérature. La réception des textes et des auteurs québécois à la revue Études françaises (1965-2014)» Michel Lacroix «“L’épreuve de la lecture publique”: Études françaises , la disciplinarisation du savoir et l’idéal du critique-écrivain Marcello Vitali-Rosati «Les revues littéraires en ligne: entre éditorialisation et réseaux d’intelligences» Benoît Melançon «Éditer des revues savantes:le point de vue des presses universitaires» Élisabeth Nardout-Lafarge «Relais» Le texte de Benoît Melançon est en consultation libre ici .Les abonnés de la plateforme Érudit peuvent y lire l’ensemble des textes. La revue est également disponible en kiosque. «Volume jubilaire», Études françaises , volume 50, numéro 3, 2014. ISSN: 0014-2085 (imprimé); 1492-1405 (numérique). ISBN: 978-2-7606-3466-4. Illustration de la couverture: François Desharnais, «Études françaises», 2014, acrylique, huile et collage sur toiles (101, 6 X 76, 2 cm)

Utopies et dystopies coloniales (Afrique/Océan Indien)

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Organisé par le CCLC et le LCF dans le cadre du programme de recherches "OSOI" (Observatoire sur les Sociétés de l'Océan Indien) conduit depuis plusieurs années par l'Université de La Réunion , le colloque international "Utopies et dystopies coloniales - Afrique/Océan Indien" regroupe des spécialistes de civilisation, de la littérature, de la presse de l'Océan Indien et d'ailleurs. De quelle manière les discours civilisateurs, les représentations mythiques (Eldorado, Lémurie, Libertalia, marronie ou créolie...) ont-elles été utilisées pour justifier, motiver ou contrer les entreprises coloniales dans l'Océan Indien et en Afrique ? Comment les projets hygiénistes ou réformistes de type socialiste, écologique, équitable (...), les promesses d'enrichissement rapide dans un nouvel Eden se sont-ils manifestés ou implantés dans ces zones géographiques ? Quelles sont les contraintes mentales créées par ces représentations, quels ont été leurs limites et leurs envers ? Les conférenciers aborderont des textes classiques (de Bernardin de Saint-Pierre, de Nerval), des oeuvres encore méconnues (recueils de Boris Gamaleya), des textes rares et jusqu'à présent accessibles aux seuls chercheurs (oeuvres de Guillaume Grivel et de l'abbé Baudeau, presse réunionnaise - bourbonnaise - du XIXe siècle). ProgrammeLundi 8 décembre 2014 UFR LETTRES ET SCIENCES HUMAINES 9H00 Accueil des participants 9H20 Françoise SYLVOS (La Réunion) : « Avant-propos » Matin : Séance « Afrique » Présidente de séance : Françoise SYLVOS 9H45 Vincent MUGNIER (CRLHOI) : « Le jeu du voile dans le Voyage en Orient de Nerval » 10H10 Fetigué COULIBALY, « La problématique de Dieu et de l’amitié dans la forfaiture coloniale. L’exemple de beatrice du congo » [Vidéo] 10H25 Discussion et pause café Présidence de séance : Peter KUON 10H50 Anne PEITER (La Réunion) : « Utopie hygiénique et camps de concentration. Quelques réflexions sur le traitement de la maladie du sommeil par Robert Koch » 11H15 Claude FÉRAL / Kimane BALTYDE (La Réunion) : « Afrique du Sud : le revers de l'utopie du développement séparé - le concept africain uBuntu est-il une autre utopie » 11H40 Discussion 12H00 Déjeuner Après-midi : Séance « XVIIIe siècle » HÔTEL DE VILLE DE SAINT-DENIS – SALLE DES MARIAGES Présidence de séance : Jean-Michel RACAULT 14H15 Peter KUON (Salzburg) : « La prison, la terreur, l’utopie, l’asile : Sade et ses espaces hétérotopiques » 14H40 Chantale MEURE (La Réunion) : « Naissance d’une utopie : L’Isle inconnue ou Mémoires du chevalier Des Gastines de Guillaume Grivel (1783) » 15H05 Discussion 15H15 Pause Séance « Madagascar » Présidence de séance : Guilhem ARMAND 15H35 Angélique GIGAN (la Réunion) : « Madagascar vue par Nicolas Baudeau » 16H00 Sandie ATTIA (La Réunion) : « Colonie française, utopie allemande : Madagascar dans la littérature pour la jeunesse de Max Mezger (1876-1940) »Mardi 9 décembre 2014 UFR LETTRES ET SCIENCES HUMAINES Matin : Séance « marronies » Président de séance : Carpanin MARIMOUTOU 8H45 Accueil des participants 9H00 Marie-Ange PAYET (New York): « Les idées utopiques dans les textes sur le marronnage » 9H25 Jenni BALASUBRAMANIAN (New Delhi) : « Le marronnage : L’utopie des esclaves. Etude de cas des romans Les Marrons (1844) de Louis Timagène Houat et Bourbon pittoresque (1839) d’Eugène Dayot » 9H50 Françoise SYLVOS (La Réunion) : « Utopies et royaumes marrons selon Boris Gamaleya » 10H15 Discussion 10H25 Pause café Séance « océan Indien » Présidence de séance : Kumari ISSUR 10H45 Yssouf NAÏFFOUDINE (La Réunion) : « Rêve éveillé et utopie du politique en post-colonie. Une étude du roman La République des imberbes de Toihiri (1985) » [texte lu] 11H10 Angélique GIGAN (La Réunion) : « Sur les utopies bernardiennes dans leur rapport à la colonisation » 11H30 Catherine REPUSSARD (Strasbourg) : « De l'impossibilité d'une île ? Utopies coloniales issues de l'espace germanophone autour de 1900 » 11H55 Discussion 12H15 Déjeuner BIBLIOTHÈQUE DÉPARTEMENTALE Après-midi : Séance « océan Indien » Présidence de séance : Valérie MAGDELAINE 14H15 Yves CLAVARON (Saint-Etienne) : « Idéologie et Utopie : "la colonisation de Java et des Indes néerlandaises dans Max Havelaar de Multatuli (1860)"» 14H40 Kumari ISSUR (Maurice) : « La construction utopique dans les oeuvres indiaocéaniques de Le Clezio » 15H05 Sandrine BERTRAND (LCF) : « L’utopie ou l’écriture personnelle des romans et récits mémoriels mauriciens et réunionnais » 15H30 Discussion 15H40 Pause cafe Séance « Ile Bourbon » Présidence de séance : Françoise SYLVOS 16H00 Laure DEMOUGIN : « "Voyez l’heureux colon sous le fertile ombrage", la poésie dans la presse réunionnaise du XIXe siècle » 16H25 Jean-Michel RACAULT (La Réunion) : « L'île Bourbon et sa fonction dans La Cité future d'Alain Le Drimeur (1890) » 16H50 Carpanin MARIMOUTOU (La Réunion), « Carrefour de nulle part » : l’utopie d’une île créole »

É. Chauvet, J. Rouassi, La mise en scène du corps

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La mise en scène du corps sous la direction d’Emeline Chauvet, Juliane Rouassi À force de se montrer, de se dévoiler, voire de se dénuder, le corps aurait-il perdu son mystère, son pouvoir de séduction et son intérêt ? Rien n’est moins sûr, comme le montre la diversité d’études recueillies ici. Objet réel ou fantasmé, le corps ne cesse pas d’interroger, de surprendre, d’effrayer ou de fasciner. Objet de désir, de plaisir, lieu d’affirmation du sujet, construit, déconstruit et reconstruit, le corps est perçu comme le « tombeau de l’âme » (Platon et, avant lui, Pythagore) ou le lieu de la célébration de la vie. Les études présentées ici interrogent les diverses mises en scène du corps à partir de champs de savoir différents : la médecine, la littérature, l’art, l’histoire. Cet ouvrage regroupe les études de jeunes chercheurs des Universités de Limoges et de Poitiers qui viennent d’horizons de recherche différents : lettres classiques et modernes, histoire, médecine, sémiotique. Source inépuisable d’imaginaire, le corps continue de nourrir les multiples rêves des humains de tous les horizons. Il reste beaucoup à imaginer et à désirer, car, comme l’affirmait Spinoza, en 1665, dans son Éthique (publication posthume en 1677), « [c]e que peut le Corps, personne jusqu’à présent ne l’a déterminé ». NB : rencontre "Corps en scène : autour de La mise en scène du corps sous la direction de E. Chauvet et J. Rouassi, PULIM, coll. "Constellations", 2014 en présence de Christine de Buzon, professeur de littrérature française du XVIe siècle à l'université de Limoges ; Juliane Rouassi, docteure en littérature comparée et chercheure associée à l'équipe "Espaces humains et interactions culturellese à l'université de Limoges ; Frédérique Toudoire-Surlapierre, professeur de littérature comparée à l'université de Haute-Alsace. mardi 9 décembre 2014 à 19 heures, Le comptoir des Presses, 86 rue Claude Bernard , 75005 Paris" Sommaire Introduction Le corps dans tous ses états , Muriel CUNIN I - Paroles, parures et guerres autour du corps Mise en scène du corps féminin dans l'Iliade, Christine MALLEMANCHE-TOAL Remarques sémantiques autour du corps dans Antigone de Sophocle , Shu SHEN Lignes Féminines : regards sur le corps féminin dans les années 1930 , Laurène SCHERER Le corps perdu dans la maladie d’Alzheimer , Anne KLIPPSTIEHL II - Maladies et soins du corps Visite de l’empereur Charles IV de Luxembourg à Paris (1378) : Le corps malade, témoin du crépuscule d’un grand règne , Guillaume YATTE La « curacion » des maladies et des « infirmectés » du corps dans la Lettre d'Hippocrate à César (XIII e - XV e siècles) , Julie METOIS La mise en scène du corps dans les sermons de Carême de Bossuet , Christabelle DIEUAIDE Les soins du corps dans la province de la Marche à la fin du XVIII e siècle , Cédric GOURJAULT Trois Cun Lotus d’Or : la déformation du corps féminin , Wenyi CAI III - Mythes et images du corps Corps d’ogres et d’ogresses. Êtres à la frontière de l’humain et de l’animal , Florina-Liliana MIHALOVICI Frenesi veneris : le corps désirant et le corps séducteur de la femme , Juliane ROUASSI De la quête des plaisirs à la rhétorique des corps , Lucille ARNAUD Post-scriptum fêtes et défaites du corps , Emeline CHAUVET, Juliane ROUASSI 166 pages ISBN : 978-2-84287-618-0 18 € Cet ouvrage est disponible:à la boutique des PULIM 39C, rue Camille Guérin 87031 Limoges cedex Tel. :05.55.01.95.35 - Fax : 05.55.43.56.29 email: pulim@unilim.fren librairieauprès de notre diffuseur: CiD 131, boulevard St Michel - 75005 Paris Tél : 01.53 10 53 95 - Fax : 01.40 51 02 80 email: cid@msh-paris.fren ligne http://www.lcdpu.fr http://www.pulim.unilim.fr

Plusieurs à traduire: proposition théorique autour d’expériences de traduction collective.« Je » est un autre : nous. Séminaire doctoral

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SEMINAIRE DOCTORAL – UNIVERSITE PARIS III «JE» EST UN AUTRE: NOUS Quelle est la place de la parole, voire de la fiction, dans les luttes politiques passées et actuelles? Comment la littérature s’empare-t-elle des questions de communs et de communauté et qu’est-ce que cela engage sur le plan poétique? Cela conduit-il à des explorations formelles spécifiques? Peut-on parler de “communisme littéraire”? Le collectif peut-il dépasser une situation particulière et/ou s’ancrer dans un temps non-prospectif? Nous nous proposons d’examiner ces questions - parmi d’autres - au cours de l’édition 2014-2015 du séminaire. Les séances, ouvertes à toutes et à tous, auront lieu de 18 à20h au centreCensier (11, rue Santeuil) en salle 414 .18 décembre – Naomi Nicolas Kaufman, Paolo Bellomo (Université Paris III – Sorbonne Nouvelle) Plusieurs à traduire: proposition théorique autour d’expériences de traduction collective.
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