Daniel Attala , Macedonio Fernández, « précurseur » de Borges Paris : Presses Universitaires de Rennes, coll. "Interférences", 2014. 300 p. EAN 9782753535275 21,00 EUR Présentation de l'éditeur : On s’est beaucoup interrogé sur l’articulation de la double face de Macedonio Fernández (Buenos Aires, 1874-1952), auteur de textes philosophiques et d’une œuvre littéraire variée (humour, roman, poésie). Cet ouvrage, dont le fil conducteur est la critique de la représentation dans le domaine philosophique et dans la pratique littéraire, cherche à saisir le moment où la distinction entre philosophie et littérature disparaît. Le concept d’affection, élaboré à la lisière des œuvres de ses maîtres (A. Schopenhauer, W. James) et dans l’effervescence des avant-gardes, est la clé de cette entreprise. Sommaire : Critique de la représentation : anthropologieCritique générale de la représentationDe la représentation à l’affectionCritique interne de la représentationCritique de l’affection Critique de la représentation : poétiqueCritique générale de l’artCritique du signifiantCritique du signifiéUsages de la représentation : humour et roman Lire l'introduction Docteur en philosophie et en littérature hispano-américaine, Daniel Attala est maître de conférences à l’université de Bretagne-Sud. Il est l’auteur de Impensador Mucho. Ensayos de Macedonio Fernández (Buenos Aires, 2007) et de Macedonio Fernández, lector del Quijote (Buenos Aires, 2009). Il a co-dirigé le volume Cuando los anarquistas citaban la Biblia. Entre mesianismo y propaganda (Madrid, 2014).
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