PAUL LÉAUTAUDJournal littéraireChoix de pagesÉdition de Maurice Guyot et Pascal PiaCollection Folio (n° 5580), GallimardParution : 06-06-20131312 pages, sous couverture illustrée, 108 x 178 mmAchevé d'imprimer : 14-05-2013ISBN : 9782070448913«Je n’ai rien créé, je n’ai rien inventé. Je suis un rapporteur de propos, de circonstances, un esprit critique, qui juge, apprécie, extrêmement réaliste, auquel il est difficile d’en faire accroire. Rien de plus. Je peux ajouter : le mérite d’écrire avec chaleur, spontanément, sans travail, prompt et net, – et quelque esprit.»Lire le Journal littérairede Paul Léautaud, c'est vivre une deuxième vie. Sourire à la malice, aux indiscrétions de celui que Jean Chalon surnomma le concierge des lettres, son Attila. Mais plus qu’une galerie de portraits – de Valéry, Apollinaire, Giraudoux, Sacha Guitry entre tant d’autres – ou l’observation minutieuse d’une société, c’est le quotidien même de son auteur qui nous est ici décrit. Paul Léautaud y apparaît avec sa tristesse, son égocentrisme, son inflexible liberté de penser.
PAUL LÉAUTAUDJournal littéraireChoix de pagesÉdition de Maurice Guyot et Pascal PiaCollection Folio (n° 5580), GallimardParution : 06-06-20131312 pages, sous couverture illustrée, 108 x 178 mmAchevé d'imprimer : 14-05-2013ISBN : 9782070448913«Je n’ai rien créé, je n’ai rien inventé. Je suis un rapporteur de propos, de circonstances, un esprit critique, qui juge, apprécie, extrêmement réaliste, auquel il est difficile d’en faire accroire. Rien de plus. Je peux ajouter : le mérite d’écrire avec chaleur, spontanément, sans travail, prompt et net, – et quelque esprit.»Lire le Journal littérairede Paul Léautaud, c'est vivre une deuxième vie. Sourire à la malice, aux indiscrétions de celui que Jean Chalon surnomma le concierge des lettres, son Attila. Mais plus qu’une galerie de portraits – de Valéry, Apollinaire, Giraudoux, Sacha Guitry entre tant d’autres – ou l’observation minutieuse d’une société, c’est le quotidien même de son auteur qui nous est ici décrit. Paul Léautaud y apparaît avec sa tristesse, son égocentrisme, son inflexible liberté de penser.