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Le personnage farfelu dans les fictions littéraires de langues romanes des XXe et XXIe siècles

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COLLOQUE INTERNATIONALLE PERSONNAGE FARFELU DANS LA FICTION LITTERAIRE (XX e-XXI e SIECLES) DES PAYS EUROPEENS DE LANGUES ROMANES 9-11 octobre 2014 - Université de Caen Basse-Normandie Responsables scientifiques et organisateurs : Vincent D’Orlando (MCF, Littérature italienne, UCBN), Sylvie Loignon (MCF, Littérature française, UCBN), Natalie Noyaret (PR, Littérature espagnole, UCBN).Appel à contributionCe colloque s’inscrit dans le cadre des travaux sur l’image et sur la représentation actuellement menés par le LASLAR (EA 4256) et, plus précisément, dans le prolongement d’un séminaire interdisciplinaire qui, durant deux années (2012-2014), aura cherché à approcher les manifestations et les effets de la curiosité dans le roman contemporain des pays européens de langues romanes. La recherche aura notamment porté sur le personnage curieux , non seulement parce que le personnage constitue, comme on le sait, l’une des composantes essentielles d’un récit, mais aussi parce que le LASLAR, à travers la récente création (en coopération avec l’Université de Salerne, Italie) d’un observatoire web international et pluridisciplinaire appelé «Marcovaldo» (du nom du personnage imaginé par Italo Calvino en 1963), entend approfondir plus spécifiquement la question du personnage farfelu dans la modernité et la postmodernité littéraires, à travers le roman mais aussi toutes les formes brèves de la fiction.«Nous en a-t-on assez parlé, du ‹ personnage ›! Et ça ne semble, hélas, pas près de finir», écrivait Robbe-Grillet en 1961… Ce sont les contours (extérieurs et intérieurs, physiques et mentaux) de la figure du farfelu que ce colloque se donne pour vocation première d’appréhender dans la variété des aspects qu’elle est susceptible de revêtir, cherchant aussi, dans la mesure du possible, à en établir une typologie.Partant de l’étymologie même du mot farfelu (« faf- : chose gonflée et vaine, croisée peut-être avec l’italien farfallo, papillon ou farfarello, démon», Littré) et de l’éventail de synonymes offert par le Dictionnaire de la langue française («abracadabrant, barjot, baroque, biscornu, bizarre, braque, burlesque, excentrique, extravagant, fantaisiste, fantasque, fou, foufou, insensé, loufoque, original, saugrenu»), il serait intéressant de voir lesquels de ces adjectifs (dans leur nuancement) contribueraient le mieux à définir l’étiquette du personnage farfelu tel qu’il se profile dans la prose narrative des XX e et XXI e siècles. Il conviendrait, en particulier, de mesurer son rapport à la folie et au burlesque, de se demander jusqu’à quel point il est imprégné de fantaisie, ou encore dans quelle mesure il incarne la marginalité et la transgression. A ce propos, on pourra se demander s’il questionne ou non les frontières génériques, tant celles du roman que celles de la fiction en général. D’autre part, on s’interrogera sur les antécédentslittéraires et les filiations que l’on peut reconnaîtreau personnage farfelu.Si l’on veut bien considérer avec Philippe Hamon que le personnage est ce signe vide au départ qui se charge de sens et de valeurs au fil du texte, on s’intéressera dans tous les cas au processus même de construction du personnage farfelu dans les récitsconsidérés. En l’occurrence, pour se demander quel rôle la voix narrative joue dans sa confection. Ou encore s’il apparaît dans un contexte (temporel, social, spatial…) particulier, et dans quelle mesure celui-ci participe à sa création et influe sur lui. En d’autres termes et pour emprunter à un concept de Vincent Jouve, on pourra rechercher de quoi relève l’effet-personnage farfelu .Par ailleurs, si l’on veut bien concevoir les personnages des romans – des textes de fiction –comme «des morceaux plus ou moins fragiles de celui qui les invente» ainsi que l’affirme l’écrivain espagnol Alfons Cervera en exergue à son dernier livre, on pourra se demander quel rapport le personnage farfelu entretient avec la personne de l’auteur. Plus largement, si l’on veut bien accepter d’envisager une certaine perméabilité du roman à la réalité extra-fictionnelle, on se demandera si cette figure de personnage est représentative, si ce n’est du sujet contemporain, tout au moins d’une catégorie d’individus existant ou ayant existé dans nos sociétés contemporaines. En l’occurrence, en quoi le personnage farfelu est-il le témoin d’une «crise du sujet» telle qu’elle apparaît au début du XX e siècle pour s’intensifier au tournant du troisième millénaire? Dans le champ de l’extrême contemporain, s’avère-t-il emblématique du postmodernisme littéraire, en ce que celui-ci a de «mise en turbulence des valeurs de la modernité»pour reprendre les mots de Marc Gontard dans Écrire la crise ? A moins que le personnage farfelu soit de l’ordre de l’utopie, pure élucubration vouée à nous livrer l’image de ce que nous ne sommes pas, mais pourrions ou devrions être… Aussi s’agira-t-il de discerner les fonctions dont cette figure est investie.Comité scientifique:Epifanio Ajello (Littérature italienne, U. Salerne)Bernard Alazet (Littérature française, U. Paris 3 - Sorbonne Nouvelle)Ana María Calvo Revilla (Littérature espagnole, U. San Pablo-SEU, Madrid)Claude Coste (Littérature française, U. Grenoble 3)Vincent D’Orlando (Littérature italienne, U. Caen)Denis Ferraris (Littérature italienne, U. Paris 3 - Sorbonne Nouvelle)Robert Harvey (Littérature française, U. Stony Brook, New York)Sylvie Loignon (Littérature française, U. Caen)Natalie Noyaret (Littérature espagnole, U. Caen)Anne Paoli (Littérature espagnole, U. Avignon)David Roas (Théorie de la littérature et littérature comparée, U. Autónoma, Barcelone)Gérard Vittori (Littérature italienne, U. Rennes II)Les communications seront de préférence en français, mais pourront se faire aussi dans les autres langues romanes avec résumé substantiel en français.Les propositions, (texte de 25 lignes maximum), devront être adressées aux organisateurs avant le30 octobre 2013 , à deux au moins des adresses suivantes:vincent.dorlando@wanadoo.frs.loignon@orange.frnatalie.noyaret@hotmail.fr80 € de frais d’inscription seront demandés aux intervenants.La liste des articles retenus pour la publication des actes (qui se fera soit en version papier, soit en ligne) sera communiquée trois mois après le colloque au plus tard.COLOQUIO INTERNACIONALEL PERSONAJE « FARFELU » O ESTRAFALARIO EN LA FICCIÓN LITERARIA (SIGLOS XX Y XXI) DE LOS PÁISES EUROPEOS DE LENGUAS ROMÁNICAS9-11 octubre de 2014Universidad de Caen - Baja Normandía (UCBN), FranciaResponsables científicos y organizadores : Vincent D’Orlando (Profesor titular, Literatura italiana, UCBN), Sylvie Loignon (Profesora titular, Literatura francesa, UCBN), Natalie Noyaret (Catedrática, Literatura española, UCBN).CIRCULAREste encuentro se inscribe en el marco de las investigaciones que sobre la imagen y la representación se están llevando a cabo por el equipo del LASLAR (Lettres, Arts du Spectacle, Langues Romanes) (EA 4256). En concreto, el Coloquio Internacional se presenta como una prolongación del Seminario Interdisciplinar (2012-2014), que centra su interés en las manifestaciones y los efectos de la curiosidad en la novela contemporánea de los países europeos de lenguas románicas.En esta ocasión, la atención se focalizará en el personaje , no solo porque el personaje constituye, como bien se sabe, uno de los componentes esenciales del relato, sino también porque el LASLAR –mediante la reciente creación, en cooperación con la Universidad de Salerno (Italia), de un Observatorio web internacional y pluridisciplinar llamado «Marcovaldo» (personaje inventado por Italo Calvino en 1963)–, tiene entre sus objetivos profundizar en la cuestión del personaje «farfelu» en la modernidad y la postmodernidad literarias, tanto en la novela como en las formas breves de la ficción.«¡Cuánto nos habrán hablado del personaje!Y por desgracia no da señales de acabarse pronto», observaba Robbe-Grillet en 1961. Esta vez son los contornos (exteriores e interiores, físicos y mentales) del personaje estrafalario, en sus aspectos más variados, los que nos proponemos aprehender y del que quisiéramos, en la medida de lo posible, establecer una tipología.Partiendo de la etimología de la palabra francesa farfelu (« faf- : cosa hinchada y vana, cruzada quizá con el italiano farfallo, mariposa o farfarello, demonio», Littré) y de la serie de sinónimos brindados por el Diccionario de la lengua francesa («abracadabrant, barjot, baroque, biscornu, bizarre, braque, burlesque, excentrique, extravagant, fantaisiste, fantasque, fou, foufou, insensé, loufoque, original, saugrenu»), o considerando, asimismo, los sinónimos que, por ejemplo, el Diccionario de María Moliner le reconoce a la palabra «estrafalario» («estrambótico, extravagante. Original a la vez que caprichoso y ridículo»), resultaría interesante ver qué adjetivos entran en juego a la hora de definir la etiqueta del personaje estrafalario, según se perfila en la narrativa de los siglos XX y XXI. Trataremos de explorar la relación que mantiene con la locura y lo burlesco, de valorar hasta qué punto está impregnado de componentes fantásticos y también de analizar en qué medida encarna los valores de la marginalidad y la transgresión. A este respecto, será preciso observar si cuestiona o no las fronteras genéricas, tanto las de la novela como las de la ficción en general. Por otra parte, se buscarán los antecedentes literarios del personaje estrafalario y sus posibles filiaciones.Fundándonos quizás en la concepción que nos ofreció Philippe Hamon del personaje como un signo vacío, que va cargándose de significado y de valores a medida que avanza el relato, nos interesaremos en el proceso mismo de construcción del personaje estrafalario en las obras estudiadas. Y esto con el objetivo de preguntarnos, por ejemplo, qué papel desempeña la voz narrativa en esta elaboración; y de valorar, asimismo, si dicho personaje aparece en un contexto (temporal, social, espacial…) particular, y en qué medida este último participa en su creación e influye en él. En otras palabras, y retomando un concepto de Vincent Jouve, se podrá indagar a qué se debe el efecto-personaje estrafalario .Por lo demás, convencidos de que los personajes de las novelas, y de los textos de ficción, son «pedazos más o menos frágiles de quien se los inventa», como afirma el escritor español Alfons Cervera en el preámbulo a su último libro, podremos interrogarnos acerca de la relación que el personaje estrafalario mantiene con la persona del autor. Desde un punto de vista más general, y considerando quizás que la novela es, en cierta medida, permeable a la realidad extraficcional, nos preguntaremos si esta figura de personaje es representativa del sujeto contemporáneo o, por lo menos, de una categoría de individuos, que existen o han existido en nuestras sociedades contemporáneas. De hecho, ¿en qué medida (o en qué aspectos) será el personaje estrafalario el testigo de una «crisis del sujeto», tal como apareció al principio del siglo XX para intensificarse en los albores del tercer milenio? En el ámbito contemporáneo, ¿se revelará esta figura como emblemática del postmodernismo literario, y de la «turbulencia de los valores de la modernidad»que lo acompaña, según explica Marc Gontard en Écrire la crise ? A no ser que el personaje estrafalario sea mera utopía, pura elucubración destinada a brindarnos la imagen de lo que no somos, pero de lo que acaso pudiéramos o deberíamos ser… Así pues, tratemos también discernir qué funciones le incumbe desempeñar al farfelu literario.COMITÉ CIENTÍFICO:Epifanio Ajello. Literatura italiana, U. Salerno.Bernard Alazet. Literatura francesa, U. Paris 3 – Sorbona.Ana Calvo Revilla. Teoría de la literatura y Literatura comparada. U. CEU San Pablo, Madrid.Claude Coste. Literatura francesa, U. Grenoble 3.Vincent D’Orlando. Literatura italiana, U. Caen.Denis Ferraris. Literatura italiana, U. París 3 – Sorbona.Robert Harvey. Literatura francesa, U. Stony Brook, New York.Sylvie Loignon. Literatura francesa, U. Caen.Natalie Noyaret. Literatura española, U. caen.Anne Paoli. Literatura española, U. Aviñón.David Roas. Teoría de la literatura y literatura comparada, U. Autónoma, Barcelona.Gérard Vittori. Literatura italiana, U. Rennes II.CUOTA DE INSCRIPCIÓN : 80 € para los comunicantes.ENVÍO DE PROPUESTAS: Las propuestas, acompañadas de un resumen de entre 200 y 300 palabras, se enviarán antes del 30 de octubre de 2013, a dos (como mínimo) de las tres direcciones de correo electrónico siguientes:Vincent D’Orlando: vincent.dorlando@wanadoo.frSylvie Loignon: s.loignon@orange.frNatalie Noyaret: natalie.noyaret@hotmail.frLas comunicaciones se leerán preferentemente en francés, pero también existe la posibilidad de presentarlas en las demás lenguas del coloquio, acompañadas siempre de un resumen en francés.La lista de los artículos seleccionados para publicación de las actas (en versión papel o en línea) será comunicada en un plazo de tres meses tras la celebración del coloquio.Convegno internazionale9-11 ottobre 2014- Università di Caen Bassa-Normandia (UCBN), FranciaIL PERSONAGGIO «FARFELU» O STRAMBONELLA FINZIONE LETTERARIA (DAL NOVECENTO A OGGI)DEI PAESI EUROPEI DI LINGUE ROMANZEResponsabili scientifici e organizzatori : Vincent D’Orlando (Professore associato, letteratura italiana, UCBN), Sylvie Loignon (Professoressa associata, UCBN), Natalie Noyaret (Professoressa ordinaria, UCBN)Call for papers (richiesta di comunicazione)Il convegno si inserisce nel programma di ricerca dedicato all’ immagine e alla sua rappresentazione attualmente condotto dal LASLAR (EA 4256) e, più precisamente, nella continuazione di un seminario interdisciplinare che, durante il biennio 2012-2014, ha tentato di studiare le manifestazioni e gli effetti della curiosità nel romanzo contemporaneo dei paesi di lingue romanze. La ricerca fino adesso svolta verte sul personaggio curioso , non solo perché il personaggio costituisce, come ben si sa, una componente essenziale del racconto, ma anche perché il LASLAR, tramite la recente creazione (in collaborazione con l’Università di Salerno, in Italia) di un osservatorio web internazionale e pluridisciplinare chiamato «Marcovaldo» (dal nome del personaggio ideato da Calvino nel 1963), intende approfondire più particolarmente la questione del personaggio strambo nella modernità e postmodernità letteraria, attraverso il romanzo ma anche tutte le forme brevi di finzione.Il progetto ha preso la forma di una convenzione di ricerca tra l’UCBN e l’Università di Salerno rappresentate respettivamente dal Prof. Sebastiano Martelli, Direttore del Dipartimento di studi umanistici e dalla professoressa Brigitte Diaz, Direttrice del Laslar.«Quanto ne abbiamo parlato, del personaggio! E, purtroppo, sembra che non smetteremo mai di parlarne», ha scritto Robbe-Grillet nel 1961…Il convegno ha per vocazione di afferrare gli aspetti (esterni e interni, fisici e mentali) della figura dello strambo, in tutte le sue varietà per giungere, se sarà possibile, all’elaborazione di una tipologia di questo personaggio.Partendo dall’etimologia della parola francese farfelu («faf»: cosa gonfia e vana, con un possibile incrocio con la parola italiana farfalla o farfarello , demonio, Littré) e dalla serie dei sinonimi propostici dal Dizionario della lingua francese («abracadabrant, barjot, baroque, biscornu, bizarre, braque, burlesque, excentrique, extravagant, fantaisiste, fantasque, fou, foufou, insensé, loufoque, original, saugrenu») o similmente partendo dai sinonimi della parola strambo indicati dal dizionario Zanichelli («strano, bizzarro, stravagante, bislacco, singolare, strampalato,cervellotico, illogico, grottesco, pazzesco, eccentrico, lunatico), sarebbe interessante evidenziare quali aggettivi, al di là delle loro sfumature, meglio potrebbero definire l’ etichetta del personaggio strambo che appare nella prosa narrativa del ventesimo e del ventunesimo secolo. Converrebbe, in particolare, valutare il suo rapporto con la pazzia e il burlesco, chiedersi fino a che punto è pieno di fantasia o ancora in che misura impersona la marginalità e la trasgressione. A questo proposito, potremo chiederci se lo strambo interroga o no le frontiere del genere, sia sul piano romanzesco che su quello della finzione in generale. Inoltre rifletteremo sugli antecedenti letterari e le filiazioni del personaggio strambo che possono essere rilevati.Si consideriamo con Philippe Hamon che il personaggio è un segno vuoto all’origine che viene investito di significato man mano che procede il testo, ci interesseremo in ogni caso allo stesso processo di costruzione dello strambo nei racconti esaminati. Questo per chiederci quale funzione assume la voce narrante nella sua elaborazione o se lo strambo appare in un contesto (temporale, sociale, spaziale…) particolare, e in che misura tale contesto partecipi alla sua creazione e abbia un’influenza. In altri termini, per prendere a prestito un concetto di Vincent Jouve, potremo cercare di definire il campo in cui rientra l’effetto-personaggio dello strambo.Inoltre, se accettiamo di concepire i personaggi romanzeschi, o fittizi, come «pezzi più o meno fragili di chi li ha ideati» per citare l’epigrafe dell’ultimo libro dello scrittore spagnolo Alfons Cervera, studieremo la natura del rapporto esistente tra lo strambo e l’autore come persona. Più generalmente, se crediamo all’idea di una relativa permeabilità del romanzo nei confronti della realtà non fittizia, ci chiederemo se tale figura è rappresentativa, se non proprio del soggetto contemporaneo, almeno di una categoria di individui che esistono o sono esistiti nelle nostre società odierne. Nella fattispecie, in che misura il personaggio strambo è il testimone di una «crisi del soggetto» nata nel primo Novecento e intensificatasi all’inizio del terzo millennio? Nel campo del contemporaneo più attuale, è lo strambo emblematico del postmodernismo letterario che ha «messo in turbolenza i valori della modernità» per dirla con Marc Gontard in Écrire la crise ? A meno che il personaggio strambo abbia a che vedere con l’utopia, sia cioè une semplice elucubrazione destinata a offrirci l’immagine di ciò che non siamo ma che potremmo o dovremmo essere… Si tratterà quindi di discernere le funzioni che caratterizzano la figura dello strambo.Comitato scientifico:Epifanio Ajello (Letteratura italiana, Università di Salerno)Bernard Alazet (Letteratura francese, Università di Paris 3, Sorbonne Nouvelle) Ana Maria Calvo Revilla (Letteratura spagnola, Università San Pablo-SEU, Madrid)Claude Coste (Letteratura francese, Università di Grenoble 3)Vincent D’Orlando (Letteratura italiana, Università di Caen)Denis Ferraris (Letteratura italiana, Università di Paris 3, Sorbonne Nouvelle)Robert Harvey (Letteratura francese, Università Stony Brook, New York)Sylvie Loignon (Letteratura francese, Università di Caen)Natalie Noyaret (Letteratura spagnola, Università di Caen)Anne Paoli (Letteratura spagnola, Università di Avignon)David Roas (Letteratura comparata, Università autonoma di Barcellona)Gérard Vittori (Letteratura italiana, Università di Rennes)Le communicazioni si terranno preferibilmente in francese ma altre lingue romanze sono possibili, con riassunto in francese.Le proposte (testo di 25 righe al massimo) saranno mandate agli organizzatori entro il 30 ottobre 2013 , ad almeno due dei seguenti indirizzi:vincent.dorlando@wanadoo.frs.loignon@orange.frnatalie.noyaret@hotmail.fr80 € di spese di iscrizione saranno chiesti ai partecipanti al convegno.La lista degli articoli accettati per la pubblicazione degli atti (cartacea o elettronica) verrà comunicata al più tardi tre mesi dopo il convegno.

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