Paul Fabre, De Pèir de Garròs à l'abbé Fabre - Trois siècles de poésie occitane XVIe, XVIIe et XVIIIe sièclesPresses Universitaires de la Méditerranée, coll. " Estudis occitans ", 2013.380 p.EAN 978284269973426,00 EURPrésentation de l'éditeur : Cette anthologie, qui accueille l’essentiel de la production poétique occitane des XVI e, XVII e et XVIII e siècles, voudrait simplement rappeler qu’entre les chefs-d’œuvre des troubadours et la renaissance mistralienne du XIX e siècle, les lettres d’oc ont continué d’exister. Certes, l’éclat du passé est perdu, mais les poètes occitans continuent d’écrire dans leur langue et de l’honorer ; et, malgré bien des faiblesses, cette littérature n’en comporte pas moins de belles réussites, les œuvres de Peir de Garros et de Pèire Goudouli surtout, mais aussi celles de Larade, d’Ader ou de l’abbé Fabre. Et peut-être éprouvera-t-on quelque émotion devant des maladresses souvent plus imputables à l’air du temps qu’à la qualité de leurs auteurs…Cet ouvrage s’inscrit dans un projet d’ensemble, celui de donner un panorama des lettres d’oc, commencé par l’auteur avec le Petit Dictionnaire de la littérature occitane du Moyen Âge (« Lo Gat ros », 2006) et l’ Anthologie des troubadours (Paradigme, 2010).Paul Fabre est professeur émérite de l'Université Paul-Valéry de Montpellier et secrétaire perpétuel de l'Académie cévenole.
Paul Fabre, De Pèir de Garròs à l'abbé Fabre - Trois siècles de poésie occitane XVIe, XVIIe et XVIIIe sièclesPresses Universitaires de la Méditerranée, coll. " Estudis occitans ", 2013.380 p.EAN 978284269973426,00 EURPrésentation de l'éditeur : Cette anthologie, qui accueille l’essentiel de la production poétique occitane des XVI e, XVII e et XVIII e siècles, voudrait simplement rappeler qu’entre les chefs-d’œuvre des troubadours et la renaissance mistralienne du XIX e siècle, les lettres d’oc ont continué d’exister. Certes, l’éclat du passé est perdu, mais les poètes occitans continuent d’écrire dans leur langue et de l’honorer ; et, malgré bien des faiblesses, cette littérature n’en comporte pas moins de belles réussites, les œuvres de Peir de Garros et de Pèire Goudouli surtout, mais aussi celles de Larade, d’Ader ou de l’abbé Fabre. Et peut-être éprouvera-t-on quelque émotion devant des maladresses souvent plus imputables à l’air du temps qu’à la qualité de leurs auteurs…Cet ouvrage s’inscrit dans un projet d’ensemble, celui de donner un panorama des lettres d’oc, commencé par l’auteur avec le Petit Dictionnaire de la littérature occitane du Moyen Âge (« Lo Gat ros », 2006) et l’ Anthologie des troubadours (Paradigme, 2010).Paul Fabre est professeur émérite de l'Université Paul-Valéry de Montpellier et secrétaire perpétuel de l'Académie cévenole.