Viviane Alary, Filles de la mémoire.Les images fixes de Juan Marsé préface de Geneviève Champeau Tours : Presses universitaires François-Rabelais, coll. "Iconotextes" EAN 9782869062931 272 p. Prix : 16EUR. Présentation de l'éditeur : Au commencement était l’Image, fiat lux de la mémoire. Alors que la critique a fait la part belle à la place qu’occupe le cinéma dans la production narrative de Juan Marsé, figure majeure du roman espagnol contemporain, Prix Cervantès 2008, cet essai démontre avec une minutie « détectivesque », la dynamique de l’écriture qu’instaure la présence d’images fixes – affiches de cinéma, bandes dessinées, photographies, dessins…– clichés dérisoires ancrés dans la mémoire et renvoyant au temps de l’enfance et de l’après-guerre civile à Barcelone. Au plaisir que prend l’auteur à jouer mentalement avec l’image décrite à la loupe, manipulée et recyclée, détruite ou restaurée, contemplée ou consommée, répond une lecture qui prend l’image fixe au pied de la lettre imprimée, démontrant ainsi à quel point elle est le lieu d’un investissement imaginaire irriguant le texte littéraire et toute ses strates. L’auteur Viviane Alary est professeure de littérature et iconographie espagnoles à l’université Blaise Pascal, Clermont II. Ses travaux portent sur les formes qui associent récit et image fixe dans la bande dessinée, le roman et plus généralement dans toute littérature graphique. Cette perspective centrée sur les questions formelles s’entrecroise avec une recherche plus thématique – la guerre, la mémoire, l’enfance. Sommaire Préface : L’œil et la main de Geneviève Champeau Introduction 1re Partie La Boîte à imagesmarséenne Bandes dessinées, chromos et pulp fictions Les imagesde papier Les icônes épitextuelles 2e Partie la main au travail, work in progress L’affiche de cinéma, Un día volveré Le dessin, El Embrujo de Shanghai 3e Partie Le regard scrutateur Le tableau de peinture Si te dicen que caí La photographie, Rabos de lagartija Conclusion Bibliographie
Viviane Alary, Filles de la mémoire.Les images fixes de Juan Marsé préface de Geneviève Champeau Tours : Presses universitaires François-Rabelais, coll. "Iconotextes" EAN 9782869062931 272 p. Prix : 16EUR. Présentation de l'éditeur : Au commencement était l’Image, fiat lux de la mémoire. Alors que la critique a fait la part belle à la place qu’occupe le cinéma dans la production narrative de Juan Marsé, figure majeure du roman espagnol contemporain, Prix Cervantès 2008, cet essai démontre avec une minutie « détectivesque », la dynamique de l’écriture qu’instaure la présence d’images fixes – affiches de cinéma, bandes dessinées, photographies, dessins…– clichés dérisoires ancrés dans la mémoire et renvoyant au temps de l’enfance et de l’après-guerre civile à Barcelone. Au plaisir que prend l’auteur à jouer mentalement avec l’image décrite à la loupe, manipulée et recyclée, détruite ou restaurée, contemplée ou consommée, répond une lecture qui prend l’image fixe au pied de la lettre imprimée, démontrant ainsi à quel point elle est le lieu d’un investissement imaginaire irriguant le texte littéraire et toute ses strates. L’auteur Viviane Alary est professeure de littérature et iconographie espagnoles à l’université Blaise Pascal, Clermont II. Ses travaux portent sur les formes qui associent récit et image fixe dans la bande dessinée, le roman et plus généralement dans toute littérature graphique. Cette perspective centrée sur les questions formelles s’entrecroise avec une recherche plus thématique – la guerre, la mémoire, l’enfance. Sommaire Préface : L’œil et la main de Geneviève Champeau Introduction 1re Partie La Boîte à imagesmarséenne Bandes dessinées, chromos et pulp fictions Les imagesde papier Les icônes épitextuelles 2e Partie la main au travail, work in progress L’affiche de cinéma, Un día volveré Le dessin, El Embrujo de Shanghai 3e Partie Le regard scrutateur Le tableau de peinture Si te dicen que caí La photographie, Rabos de lagartija Conclusion Bibliographie