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Channel: Fabula, la recherche en littérature
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Ottaviani (Didier) , La Philosophie de la lumière chez Dante - Du Convivio à la Divine comédie

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Ottaviani (Didier) , La Philosophie de la lumière chez Dante - Du Convivio à la Divine comédie Réimpression de l'édition de Paris, 2004 L’étude de la thématique de la lumière du Convivio à la Divine comédie permet de mettre en évidence la manière dont Dante parvient à harmoniser les différentes traditions philosophiques qui le précèdent. Ce faisant, il propose une philosophie nouvelle qui clôt une époque et ouvre sur la Renaissance. ISBN 978-2-406-06421-3 EAN 9782406064213 477 pages - livre broché - 49.00 €

Shelley (Mary), Les Aventures de Perkin Warbeck (éd. Anne Rouhette-Berton)

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Shelley (Mary), Les Aventures de Perkin Warbeck (éd. Anne Rouhette-Berton) Nouveauté disponible en version poche Le roman Les Brahmanes , publié en 1866 au Portugal par l’Indien de Goa Francisco Luís Gomes (1829-1869), pourrait être considéré comme étant non seulement le premier ouvrage de fiction « anticolonialiste » de l’histoire de la littérature moderne, mais encore celui qui a le premier attaqué frontalement le système hindou des castes. L’auteur a encore l’audace de promouvoir dans son livre un mariage interethnique, au moment même où les théories raciales faisaient irruption en Occident. ISBN 978-2-406-06614-9 EAN 9782406066149 619 pages - livre broché - 19.00 €

Gomes (Francisco Luís), Les Brahmanes (éd. Everton V. Machado, Léon de Claranges Lucotte)

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Gomes (Francisco Luís), Les Brahmanes (éd. Everton V. Machado, Léon de Claranges Lucotte) Nouveauté disponible en version poche Le roman Les Brahmanes , publié en 1866 au Portugal par l’Indien de Goa Francisco Luís Gomes (1829-1869), pourrait être considéré comme étant non seulement le premier ouvrage de fiction « anticolonialiste » de l’histoire de la littérature moderne, mais encore celui qui a le premier attaqué frontalement le système hindou des castes. L’auteur a encore l’audace de promouvoir dans son livre un mariage interethnique, au moment même où les théories raciales faisaient irruption en Occident. ISBN 978-2-406-06612-5 EAN 9782406066125 235 pages - livre broché - 14.00 €

Contre Mallarmé. Contre-attaque, contrepoint, contretemps.

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Contre Mallarmé. Contre-attaque, contrepoint, contretemps. Comme la matière ne saurait être envisagée sans l’antimatière, les sciences humaines, elles aussi, bien souvent, soudés à leurs objets, génèrent leurs anti-objets. C’est le jeu bien connu de «l’action» et de «la réaction», cher à Jean Starobinski. Depuis quelques années, l’histoire des idées considère l’autre moitié de l’orangequand l’histoire de la réception se penche sur les formes d’opposition aux objets d’étude canonisés par une certaine «tradition moderne», ou renverse le point de vue dominant dans une certaine zone de la pensée théorique. A côté des travaux de Sternell sur «les anti-Lumières» (2006, republié en 2010), naissent des réflexions sur la résistance aux avant-gardes ( Les Arrière-gardes au XX e siècle , dir. William Marx, PUF, 2004), sur «l’anti-modernisme» (Antoine Compagnon, Les Antimodernes , Gallimard, 2005), la «contre-auctorialité» (Sophie Rabau, Lire contre l’auteur , Presses Universitaires de Vincennes, 2012); on peut ajouter les recherches tournées vers l’anti-romantisme, orchestrées par Claude Millet depuis 2006 à l’Université Paris-VII, peu avant la toute récente traduction française du livre de Hugo Friedrich de 1935 consacré à «la pensée antiromantique moderne en France» (Classiques Garnier, 2015). On se gardera de voir dans cette tendance à la contre-histoire le symptôme d’un épuisement critique, ou bien le signe de reconnaissance d’une pensée réactionnaire. Il s’agit au contraire, du moins pour nous, de mettre en place une pratique historienne «holiste», dynamique et différentielle, qui construit son objet de manière polaire, de façon à rendre compte de la totalité d’un moment, ou d’une épistémè : «action» et «réaction» forment un tout solidaire, une interaction .Tel sera le parti pris méthodologique que nous entendons suivre, en nous intéressant au cas Mallarmé saisi dans l’histoire de ses réceptions, ou plutôt de ses constructions successives «négatives». Nous visons le passage de «Mallarmé» au «mallarmisme», et plus précisément ici, à l’une de ses versions peu explorées, dans ses présupposés, ses arguments, ses stratégies, à savoir l’anti-mallarmisme . La formation discursive nommée «Mallarmé», nous voudrions la saisir à travers la modalité du «contre», entendue de trois manières. Il y aurait la contre -attaque , qui présente des oppositions idéologiques, qui répond par le discours polémique, la parodie, la critique d’humeur, le diagnostic morbide, le procès, voire la «censure». Bien évidemment, cet aspect concerne surtout la première réception mallarméenne, mais pas exclusivement. Vient ensuite ce que nous nommons le contrepoint , qui propose des variations esthétiques plus ou moins distantes. Ce domaine couvre toutes les formes d’oppositions systémiques, différentielles, structurales, entre les œuvres et les poétiques, d’un point de vuenon-polémique. C’est le terrain privilégié des études «comparatistes», mot entendu au sens large. On pourrait arrimer cet axe de recherche à cette remarque de John Jackson concernant Bonnefoy, mais qui pourrait être valable pour les grands disciples historiques, les Gide, les Claudel, les Valéry, avec des nuancesévidentes selon les trajectoires individuelles : «Mallarmé est celui qu’il prend le plus volontiers pour s’en distinguer» ( Yves Bonnefoy , Seghers, 2002, p. 63). On sait, entre autres choses, que l’idée selon laquelle «tout, au monde, existe pour aboutir à un livre» a pu servir de formule-repoussoir inaudible, en particulier pour les poètes de L’Ephémère , jusqu’à la récente Littérature en péril de Todorov. Enfin, le terme de contretemps , désignera ici les lectures «actualisantes» promues récemment par Yves Citton, qui recontextualisent de manière anachronique, en s’orientant vers ce que l’on appelle aussi la lecture «contre-auctoriale», mais qui puisent également dans le concept nietzschéen d’ inactualité . On touche aux phénomènes d’«usages», de captation d’héritage, de réappropriation, de trahison, voire de contresens , si cette notion est maintenue. Un large pan de la réception philosophique du poète, de Sartre à Meillassoux, trouverait sa place dans cet espace. Cette dernière zone, trouble, mais très féconde, pose bien évidemment un problème de légitimité herméneutique, d’un point de vue philologique. Mais il faudra suivre Pierre Hadot sur ce point, tout en essayant de cerner les «limites de l’interprétation», qui notait en 2004 à propos de la célèbre formule d’Héraclite: «écrire l’histoire de sa réception, c’est écrire l’histoire d’une suite de contresens, mais de contresens créateurs, dans la mesure où ces trois petits mots ont servi à exprimer, mais peut-être aussi à faire apparaître, des perspectives toujours nouvelles sur la réalité» ( Le Voile d’Isis , Gallimard, 2008, p. 404). Nous poserons en particulier cette question aux «poètes d’aujourd’hui»: à quelles conditions et dans quelles limites, la poésie contemporaine peut-elle «poursuivre avec Mallarmé», pour reprendre une formule de 2003 venue du «Salut» en forme de poème spatial signé Jean-Paul Michel? Peut-on soutenir, avec Yves di Manno, que «le retour à Mallarmé», dans les années 1960, fut le «grand drame de la poésie française»( La Tribu perdu. Pound vs Mallarmé , Java, 1995, p. 54) ? Cette recherche aurait pour horizon quelque chose comme une «structure de la poésie moderne», revue et corrigée, purgée des partis pris de Hugo Friedrich, de manière à faire l’histoire archéologique de la grande alternative Mallarmé / Rimbaud, mais aussi de toute une série d’autres alternatives littéraires, peut-être moins attendues: Mallarmé versus Baudelaire, Ducasse, Corbière, Verlaine, Laforgue; Mallarmé versus Tzara; Mallarmé versus Artaud; Mallarmé versus Whitman, Pound, Stein, etc. *Le présent appel à contribution vise la réalisation d’un ouvrage collectif , que nous envisageons de publier aux Presses Universitaires de Rouen et du Havre (PURH), dirigées par François Bessire ((Université de Rouen / CEREdI). Les propositions de contribution sont à envoyer à Thierry Roger (Université de Rouen / CEREdI; thierry.roger@univ-rouen.fr ) avant le 1 er octobre 2017 .

Graphè 2017 : Les Psaumes de David

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Colloque organisé par le centre de recherche Textes et Cultures (EA 4028) jeudi 23 mars 2017 9h: Accueil des participants 9h 30: Ouverture du colloque par Francis MARCOIN , président de l’université d’Artois,et Introduction par Jean-Marc VERCRUYSSE , directeur de la collection Graphè. 10h : André WÉNIN (Université Catholique de Louvain) Les Psaumes de David 11h : pause 11h 15 : Marie-Anne VANNIER (Université de Lorraine-Metz, I.U.F.) L’apport des Enarrationes in Psalmos d’Augustin ………. 14h : Mireille DEMAULES (Université d’Artois) Psaumes, Psautier et culture courtoise 14h 45: Anne LAFRAN (DYPAC, Université de Versailles-Saint Quentin) Le «psaume de Judas». Représentations, exégèses et interprétations du psaume 108 au Moyen Âge 15h 30 : pause 15h 45: Benjamin BROU (ESPE Lille Nord de France) Le Pantocrator , une figure plastique de l'omnipotence divine (Ps 139) 16h 30 : Anna Maria VILENO (Université Libre de Bruxelles, FNRS) L’exploration ésotérique des psaumes dans la spiritualité occidentale ------------------- vendredi 24 mars 2017 9h : Monique WEIS (Université Libre de Bruxelles, FNRS) Traductions et adaptations des Psaumes au service de la cause réformée: Het Boeck der Psalmen Davids de Philippe de Marnix (1580) et le Scottish Psalter (1564/1650) 9h 45 : Marie-Laurentine CAËTANO (GRAC, Université Lumière-Lyon 2) «Comme nous dit tresbien ce bon Roy pénitent», les Psaumes de David dans les Œuvres chrétiennes de Gabrielle de Coignard 10h 30 : pause 10h 45 : Alexia GASSIN (Université de Strasbourg) La paraphrase des psaumes de David selon Paul Fleming 11h 30 : Timothée LÉCHOT (Université de Bâle) Vers une autonomisation littéraire du livre des Psaumes: Les Odes sacrées (1764) de Jean-Laurent Garcin ………. 14h : Marie Kawthar DAOUDA (Université de Bretagne occidentale) Le De profundis des poètes maudits: réécritures des psaumes et sublimation de l’enfermement chez Baudelaire, Verlaine et Wilde 14h 45 : Sébastien CLERBOIS (Université Libre de Bruxelles) Parler Dieu à Dieu? Les psaumes symbolistes chez Paul Gauguin et Camille Claudel 15h 30 : pause 15h 45 : Catherine d’HUMIÈRES (CELIS, Université de Clermont-Ferrand) Les psaumes dans le Livre d’heures du bois d’automne de Jean-Claude Masson 16h 30 : Conclusion du colloque L’ensemble des communications sera publié dans le volume 27 de la collection Graphè à l’Artois Presses Université (http://apu.univ-artois.fr/Collections/Graphe )
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