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Channel: Fabula, la recherche en littérature
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Antiquipop : la référence à l'Antiquité dans la culture populaire contemporaine (Lyon 2)

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Colloque international : "Antiquipop : la référence à l'Antiquité dans la culture populaire contemporaine " La question de la réception de l’Antiquité fait partie depuis maintenant de nombreuses années des préoccupations des chercheurs anglo-saxons, et commence aujourd’hui à s’intégrer solidement dans le paysage scientifique français. La période moderne et les débuts de la période contemporaine sont néanmoins au coeur des recherches menées, qui délaissent presque totalement la période la plus actuelle. Les études consacrées aux manifestations les plus récentes de l’Antiquité dans la culture populaire sont de plus largement dédiées à l’écrit (du roman historique à la bande dessinée, en passant par le théâtre) et au film de péplum (les plus récents, ceux de la vague d’après 2000, n’ayant malgré tout que peu été étudiés). Antiquipop propose donc de se concentrer enfin sur la présence de l’Antiquité dans la culture populaire la plus contemporaine, et sur des supports peu considérés par les chercheurs : le jeu-vidéo, les séries, l’art contemporain, la mode, etc. Ces médias, souvent liés à la culture de masse, constituent l’interface la plus vaste entre nos sociétés et l’Antiquité : l’étude des références révèle aussi bien notre vision du passé que celle de notre présent. Le colloque accompagne un travail continu de recensement et d’analyse, mené par une équipe de chercheurs sur le carnet scientifique http://antiquipop.hypotheses.org/, qui sera complété par la constitution d’une base de données recensant les supports nombreux et divers. De nombreux spécialistes de la réception et de l’Antiquité participeront à la manifestation, qui a néanmoins pour ambition d’attirer du fait de ses thématiques le grand public : pendant deux jours ils se succéderont pour présenter leurs communications selon des axes thématiques. Une synthèse conclusive sera proposée le vendredi soir. Le samedi matin verra donc deux spécialistes de l’Antiquité et de la société d’aujourd’hui, répondre aux questions des organisateurs du colloque avant de laisser le public poser les siennes. Dans le même temps une exposition aura lieu au musée gallo-romain de Fourvière. Pour plus d'informations, notamment le programme du colloque: http://antiquipop.sciencesconf.org/

La Parole dans l'oeuvre d'Albert Cohen

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Journée "La Parole dans l'œuvre d'Albert Cohen", le samedi 28 mai 2016 de 9h à 17h. organisée par l'Atelier Albert Cohen en collaboration avec l'UMR 7172 THALIM (Paris 3, CNRS, ENS) à la Sorbonne Nouvelle, Centre Censier, 13 rue Santeuil 75005 Paris, métro Censier-Daubenton, Salle Las Vergnas, 3e étage. 9h00 : Accueil des participants et présentation de la journée 9h30 : Louise Noblet-César: « Le cycle romanesque chez Cohen » 10h15 : Jérôme Cabot « La parole romanesque comme facteur d’identification » 11h : Pause 11h30 Géraldine Dolléans : "Parole d'historien, parole de romancier chez Proust et Cohen" 11h 45 Alain Schaffner : «Le discours de confession (Dostoïevski, Bernanos, Cohen)» 12h30 à 14h30, déjeuner 14h30 : Antonia Maestrali « le personnage de Scipion dans Mangeclous : un beau parleur » 15h15 : Jack Abécassis : « Carnets 78, l’oralité de la rage » 16h : Claudine Ruimi : « Enjeux de la parole publicitaire dans les textes de Cohen » Contact : alain.schaffner@univ-paris3.fr Entrée libre dans la mesure des places disponibles.

Cahiers Louis Dumur, n°3,«Les Russies de Louis Dumur»

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Appel à communications Cahiers Louis Dumur - N°3 Les Russies de Louis Dumur La Société Louis Dumur, basée à Genève, s'apprête à publier en 2016 le troisième numéro des Cahiers Louis Dumur aux éditions Classiques Garnier. Ces Cahiers ont pour but de faire connaître l'œuvre de Louis Dumur, injustement oubliée, mais également à traiter des points suivants : - l'activité littéraire, critique et politique du Mercure de France . - l'œuvre de Rachilde, Alfred Vallette, Paul Léautaud, Lucien Descaves, Marcel Rouff et le rapport de ces écrivains à Louis Dumur. - la place du Mercure de France par rapport aux autres revues de son époque, principalement la NRF. - le traitement littéraire de la Grande Guerre : entre action et réaction. - la place des auteurs suisses romands à Paris dans le premier quart du vingtième siècle Le troisième numéro a pour titre «les Russies de Louis Dumur» et développera en particulier les points suivants : - Vision de Saint-Pétersbourg dans les premières années du règne de Nicolas II. - Précepteurs suisses et familles nobles à Saint-Pétersbourg au tournant des dix-neuvième et vingtième siècles. - Lassitudes et Neva , recueils de poésies composés par Louis Dumur lors de son séjour pétersbourgeois, entre 1887 et 1892. - Révolution russe et littérature d'expression française entre 1917 et 1932. - Raspoutine, personnage de roman. - Vision du bolchévisme en Suisse dans les années vingt. Toutes les propositions de contributions peuvent être adressées par courriel à societelouisdumur@gmail.com ou à fr.jacob@bluewin.ch à l'attention de Mme Françoise DUBOSSON, M. Nicolas GEX ou M. François JACOB jusqu'au 1er juin 2016 pour une remise des textes au 15 octobre . La livraison du troisième numéro des Cahiers Louis Dumur est prévue pour décembre 2016.

La Seine littéraire au XIX e siècle

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Appel à contributions La Seine littéraire au XIX e siècle (dir. Nicolas Gauthier et Sébastien Roldan) Au XIX e siècle, la vie parisienne gravite autour de la Seine. De même dans les œuvres littéraires: on bute contre les quais pour ensuite les longer, lorgnant de haut cette barrière incontournable mais néanmoins franchissable. Ce qui se joue dans sa mise en scène n’est toutefois pas que topographique et la Seine n’est pas qu’un simple décor. Gustave Flaubert en fait le seuil de Paris et du récit dans L’Éducation sentimentale . Honoré de Balzac la transforme en Styx dans La Peau de Chagrin . Victor Hugo l’associe à l’oubli et à la mort que l’on recherche dans Les Misérables . Les exemples abondent, passant des Mystères de Paris d’Eugène Sue aux récits de Guy de Maupassant, sans oublier les ouvrages consacrés à la capitale, comme le Paris, ses organes et ses fonctions de Maxime Du Camp. La Seine est aussi protéiforme sous la plume des poètes, que l’on pense à Alfred de Vigny, Théophile Gautier ou Paul Verlaine. Néanmoins, malgré les multiples visages et la centralité (géographique, économique, hygiénique, poétique, mythologique) de la Seine dans l’identité littéraire de Paris, cet espace hydrographique n’a pas encore fait l’objet d’une étude d’envergure. C’est un premier pas dans cette direction qu’espère poser ce dossier consacré aux rôles que font jouer les écrivains du XIX e siècle à la Seine pour en faire une partie intégrante du « mythe de Paris ». Cet appel invite des contributions d’horizons méthodologiques et théoriques variés au sein des études littéraires, notamment – mais pas exclusivement – des contributions s’inscrivant dans des approches théoriques sensibles à la réalité naturelle et géographique du lieu comme l’écocritique, la géocritique ou la géopoétique. Parmi les axes de recherche qui pourront être explorés, mentionnons: la fictionnalisation de la Seine chez un auteur en particulier; Paris au miroir de la Seine; études comparées de la Seine avec d’autres fleuves ou chez différents auteurs; symbolique du cours d’eau parisien; la Seine au théâtre; us et rites aux abords du fleuve parisien; la Seine et la villégiature; le fleuve et le pouvoir parisien; rives et quais parisiens; cours et reflux, crues et débordements du fleuve. Les personnes intéressées à participer à ce dossier qui paraîtra dans la revue en ligne Arborescences, publiée par l’Université de Toronto (Canada), sont priées d’envoyer une proposition d’article d’environ 400 mots, accompagnée d’une brève notice bio-bibliographique, avant le 15 septembre 2016 aux responsables du dossier , Nicolas Gauthier (Université de Waterloo; nicolas.gauthier@uwaterloo.ca ) et Sébastien Roldan (Université de Strasbourg; sebastien.roldan@polymtl.ca ). La version finale des articles, d’environ 30000signes, devra être soumise pour le 1 er juin 2017 . Les articles seront évalués par les responsables du dossier puis soumis au processus d’évaluation par le comité de lecture international de la revue.

Herbe(s) d'Asie

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Journéed’Étude « Herbe(s) d’Asie » - 12 décembre 2016 Expansion s et culture des herbes asiatiques Dusommet de l’Himalaya à la Mer Méditerranée, du commencement de la Route de la Soie aux confins du continent eurasiatique, l’économie et la culture des herbes asiatiques se sont développées au fil du temps. Appréciées, utilisées ou transformées, elles deviendront les ambassadrices des cultures à la rencontre de nouveaux horizons de plus en plus lointains. Cette réalité suscite un intérêt au sein des disciplines scientifiques. Dans le cadre du cyclede séminaires multidisciplinaires sur les Herbes : d’une modernité à l’autre, proposé par HCTI (Héritages et Constructions dans le Texte et l’Image, E.A. 4249), une journée d’étude sera consacrée aux herbes asiatiques, à leur parcours et à leur expansion. Car, de par l'expansion de l'usage des herbes asiatiques dans le monde, la culture asiatique va à larencontre d’autres cultures, surtout à partir de la fin du vingtième siècle. Il s’agira de définir le domaine spécifique de connaissance des herbes asiatiques, en s’intéressant à leur production, ramassage, commercialisation et expansion. Puis, nous les explorerons, en mettant en lumière les différents rôles joués selon les pays. En suivant les traces du voyage des herbes dans l'histoire, ou à l’époque actuelle, nous traiterons de la culture des herbes, de leur portée économique et culturelle, ainsi que de leurs influences dans différentes régions du monde. Nous nous intéresserons aussi aux modes de vie, aux questions d’interculturalité, sans oublier les considérations environnementales ou médicinales. Nous pourrons examiner l’étymologie de leurs codes de commercialisation dans des sociétés diverses. Les questions de logistique et de transformation incitent également à la réflexion. Ces travaux pourront s’enrichir, en outre, d’une analyse sur le parcours tracé par les herbes dans la littérature et les arts. Les communications pourront être en français, en anglais, et en chinois. Elles ne devront pas dépasser 20 minutes. Date limite d’envoi du résumé (environ 200 mots) accompagné d’une courte notice biobibliographique : le 20 juin 2016. La réponse sera communiquée le 20 juillet 2016. Contacts : Molly.chatalic@univ-brest.fr , Yue.Yue1@univ-brest.fr Adresse: UFR Lettres et Sciences Humaines, Université de Bretagne Occidentale, Brest, France Comité scientifique : Yves Coativy (UBO CRBC), Molly Chatalic (UBO HCTI), Jacqueline Estran (UL3 IETT EA4186), Xavier Paulès (EHESS), Fatima Rodriguez (UBO HCTI), Wang Jian (Académie des Sciences Humaines et Sociales de Shanghai), Zhang Fan (Université de Beijing Beida) Yue Yue (UBO HCTI).

M. Proust, Sentiments filiaux d'un parricide

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//www.fabula.org/actualites/documents/74028.gifMarcel Proust, Sentiments filiaux d'un parricide Paris : Allia, 2016. 48 p. EAN 9791030401080 3,10 EUR Présentation de l'éditeur : "Si j'ai répété avec insistance ces grands noms tragiques, surtout ceux d'Ajax et d'Œdipe, le lecteur doit comprendre pourquoi, pourquoi aussi j'ai publié ces lettres et écrit cette page. J'ai voulu montrer dans quelle pure, dans quelle religieuse atmosphère de beauté morale eut lieu cette explosion de folie et de sang qui l'éclabousse sans parvenir à la souiller. Madame Van Blarenberghe, femme du président de la compagnie des chemins de fers de l'Est, a trouvé la mort le 24 janvier 1907. Lecoup fatal, c'est son propre fils qui le lui a porté avant de se suicider. Rapporté sous le titre "Drame de la folie" dans LeFigaro le lendemain, ce fait divers attire vivement l'attention de Marcel Proust. Cette dame était amie de ses parents. Lui-même avait reçu une lettre touchante du fils en réponse à des condoléances qu'ilavait adressées lors de la mort du père. Rapidement, il envoie un article à ce même journal, Sentiments filiaux d'un parricide . Loin de s'outrager d'un tel crime, Proust compare cet acte à la geste des grandes tragédies grecques, et leur lot de parricides : Œdipe, Ajax, Oreste. Ou encore au Roi Lear de Shakespeare. Sans se soucier du calibrage imposé par le journal, Proust laisse libre cours à sa pensée. Prenant le contre-pied du Figaro , il transforme le fait divers en scénario d'une dramaturgie antique. Il déjoue les codes de l'article de presse et il adopte un point de vue tout à fait subjectif, annonçant les riches heures de la narrative fiction. Làdéjà, dans ce texte guidé par l'impulsion, il œuvre par réminiscence : le souvenir de ces gens le conduit à reconsidérer le présent à sa lumière. Lefils meurtrier devient sous sa plume non plus un assassin sordide mais un héros sublime. Suivi de "Une tragédie intemporelle" par Gérard Berréby Lire un extrait

S. Boustani et M.-A. Germanos (dir.), La Littérature arabe dialectale - Un patrimoine vivant

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//www.fabula.org/actualites/documents/74030.jpgSobhi Boustani et Marie-Aimée Germanos (dir.), La Littérature arabe dialectale - Un patrimoine vivant Paris : Karthala, 2016. 252 p. EAN 9782811116453 23,00 EUR Présentation de l'éditeur : L’ouvrage regroupe huit contributions consacrées à la poésie, au théâtre et à la prose romanesque d’expression dialectale au Moyen-Orient. De tradition séculaire, les littératures arabes populaires et dialectales incarnent l’une des expressions émotionnelles les plus fortes, les plus authentiques et les plus spontanées. Bien qu’elles soient un élément déterminant du patrimoine et du paysage littéraires, bien que leur audience soit plus large que celle de la littérature classique, elles ont souvent été considérées comme une variante paralittéraire de peu de valeur par rapport à la littérature dite « savante » (poésie et prose) écrite en arabe standard. En réhabilitant ces littératures, on rétablit l’équilibre entre les différentes formes d’écritures littéraires arabes. Leur redécouverte par une approche linguistique, analytique et sociale permet également d’accéder à une partie importante de l’univers culturel des sociétés d’où elles émanent. Les articles présentés ici contribuent à cette entreprise. Ils découlent d’une journée d’études organisée en décembre 2011 à l’Inalco par le Centre de Recherches Moyen-Orient Méditerranée. Sobhi Boustani est professeur de littérature arabe moderne à l’INALCO, Paris. On lui doit plusieurs ouvrages et articles sur la poésie arabe du XXe siècle et sur le renouvellement de l’écriture dans la littérature romanesque arabe. Marie-Aimée Germanos est maître de conférences d’arabe syro-libanais à l’INALCO (Paris). Ses travaux de recherche en sociolinguistique portent plus particulièrement sur l’arabe dialectal libanais.

S. Jouanny et E. Le Corre (dir.), Les Intermittences du sujet - Ecritures de soi et discontinu

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Sylvie Jouanny et Elisabeth Le Corre (dir.), Les Intermittences du sujet - Ecritures de soi et discontinu Presses Universitaires de Rennes, coll. "Interférences", 2016. 396 p. EAN 9782753548985 24,00 EUR Présentation de l'éditeur : Cent ans après À la Recherche du temps perdu de Marcel Proust, les intermittences du cœur demeurent, mais les mots pour le dire s’inscrivent dans un nouveau paradigme, celui du discontinu. L’écriture de soi ne cesse d’imploser dans d’infinies intermittences génériques et scripturales qui témoignent d’un sujet désireux moins de se prendre intus et in cute que de se déprendre en privilégiant la recherche d’un soi à travers ses métamorphoses et ses virtualités. Sommaire :Le discontinu de soi: constitution d’un sujet et mise en scène de l’écritureLe discontinu du genre: le moi et ses doublesLe discontinu des arts: représentations identitaires et réflexivités esthétiques Table des matières Lire l'introduction Sylvie Jouanny et Élisabeth Le Corre , qui ont dirigé cet ouvrage, sont respectivement professeur et maître de conférences à l’université Paris-Est Créteil et spécialistes des littératures des XXe et XXIe siècles, notamment du théâtre et de l’autobiographie. Ont collaboré à ce volume Jeanyves Guérin , professeur à l’université Sorbonne Nouvelle-Paris 3 et Philippe Weigel , maître de conférences à l’université de Haute Alsace, spécialistes de théâtre, ainsi que Claude Burgelin , professeur émérite à l’université Lumière-Lyon 2, spécialiste de littérature contemporaine, et plus particulièrement des écritures de soi.

J. Solal (dir.), Huysmans et les arts

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//www.fabula.org/actualites/documents/74013.pngHuysmans et les arts sous la direction de Jérôme Solal Paris, Lettres Modernes Minard /Classiques Garnier, coll.La Revue des lettres modernes, 2016 EAN : 9782812450457 305 pages Prix : 38 € Présentation de l'éditeur: J.-K. Huysmans critique d'art s'intéresse aux artistes de son temps et à ceux du passé. Son discours sur la peinture et les autres arts l'ouvre à une libre réflexion sur la modernité et sur les pouvoirs de la littérature qui, comme la peinture, explore son siècle et s'en échappe. Table des matières

Ch. Reig et H. Salceda (dir.), Raymond Roussel, orfèvre de la langue

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//www.fabula.org/actualites/documents/74014.pngRaymond Roussel, orfèvre de la langue sous la direction de ChristopheReig etHermesSalceda Paris, Lettres Modernes Minard /Classiques Garnier, coll.La Revue des lettres modernes, 2016 EAN : 9782812447761 293 pages Prix : 32€ Présentation de l'éditeur: Les travaux réunis dans ce volume s'efforcent de saisir la singularité de l'écriture roussellienne à travers l'analyse de son rapport à la langue. Un important dossier est consacré à la passionnante relation que le poète américain John Ashbery a entretenue toute sa vie avec l'œuvre de Roussel. Table des matières

A. Schoysman et M. C. Timelli (dir.), Le Roman français dans les premiers imprimés

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//www.fabula.org/actualites/documents/74015.pngLe Roman français dans les premiers imprimés sous la direction d'AnneSchoysman etMariaColombo Timelli Paris, Classiques Garnier, coll.Rencontres, 2016 EAN : 9782812459931 196 pages Prix : 29 € L'apparition de l'imprimerie joue un rôle important dans la diffusion des romans en prose de la fin du Moyen Âge et assure leur postérité littéraire. Ces études s'interrogent entre autres sur les stratégies éditoriales des premiers imprimeurs, afin de mieux cerner la spécificité des éditions anciennes de ces romans. Table des matières

J.-C. Larrat, Sans oublier Malraux

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//www.fabula.org/actualites/documents/74016.pngJean-ClaudeLarrat Sans oublier Malraux Paris, Classiques Garnier, coll.Études de littérature des XXe et XXIe siècles, 2016 EAN : 9782812447716 419 pages Prix : 39 € Présentation de l'éditeur: Cet ouvrage étudie la part active qu'André Malraux a prise aux idées de son siècle: bergsonisme, nietzschéisme, populisme socialiste avant 1945; puis à l'effervescence des sciences humaines: «psychologie des profondeurs», ethnologie, poétique, rhétorique, etc. Table des matières

F. Lestringant, Jean de Léry ou l'invention du sauvage - Essai sur l' Histoire d'un voyage faict en la terre du Bresil

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//www.fabula.org/actualites/documents/74018.pngFrankLestringant Jean de Léry ou l'invention du sauvage - Essai sur l' Histoire d'un voyage faict en la terre du Bresil Paris, Classiques Garnier, coll.Études et essais sur la Renaissance, 2016 EAN :9782406057239 333 pages Prix : 39 € Présentation de l'éditeur: Cet ouvrage inclut une biographie de Jean de Léry et l'étude des principaux chapitres du «bréviaire de l'ethnologue». Elle replace ce texte fondateur dans le contexte des guerres de Religion, qui l'a vu naître, et dans la perspective de l'anthropologie contemporaine, qui y a découvert un classique. Table des matières

Cartographie d'espaces en mouvement: les genres littéraires. Définition, exploration, subversion.

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Journée des doctorant.e.s du CSLF (Paris Ouest): Cartographie d'espaces en mouvement: les genres littéraires. Définition, exploration, subversion. Amphithéâtre Max Weber, Bâtiment W, Université Paris Ouest (RER Nanterre Université) - 20 mai 2016 Matinée 10.00: accueil des participant.e.s et introduction par Morgane Kieffer & Isolde Lecostey (Observatoire des Écritures Françaises et Francophones Contemporaines) 10.30 : Flavie Kerautret (Lire, Commenter, Réécrire) Les discours de Bruscambille, des farces monologuées ? Discussion et pause 11.20: Audrey Faulot (Litt&Phi / Université de Picardie Jules Verne) Pseudo-mémoires, roman-mémoires : retour sur une distinction 11.50: Kazuhiko Suzuki (PHisTeM) Désiré Nisard, critique littéraire (et d’art) 12.30: Déjeuner convivial au C.R.O.U.S du campus Après-midi 14.00: Bounthavy Suvilay (PHisTeM / Université Paul Valéry Montpellier 3) Ceci n’est pas un manga, ou comment Casterman a rendu légitime Quartier Lointain de Jiro Taniguchi. 14.30: Anne-Sophie Donnarieix (Observatoire des Écritures Françaises et Francophones Contemporaines / Université de Regensburg) Retours et détours du genre fantastique – Vers une poétique contemporaine du surnaturel. Discussion et pause 15.30: Elena Quaglia (Observatoire des Écritures Françaises et Francophones Contemporaines / Université de Vérone) Auto-judéographie : avatars de l'autofiction dans l'écriture d'une judéité post-génocidaire. 16.00: Gianpaolo Furgiuele (Observatoire des Écritures Françaises et Francophones Contemporaines / Université Charles de Gaulle Lille 3) Les auteurs maudits et les anthologies littéraires au XX ᵉ siècle. Discussion et conclusions Organisation& contact : Morgane Kieffer (kieffermo@gmail.com) & Isolde Lecostey (isolde.lecostey@gmail.com) La journée est ouverte à tou.te.s. Page FB: https://www.facebook.com/journeesdesdoctorantesducslf/

Fictions de la Révolution

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COLLOQUE INTERNATIONAL "Fictions de la Révolution" Programme co-organisé par l’IHRIM (université Jean-Monnet, Saint-Étienne) et le RIRRA 21 (université Paul-Valéry, Montpellier) Lieu : Université Paul Valéry - Site Charles Ier Salle 102 (Tram 1; arrêt "Albert Ier"). Programme des jeudi 12 et vendredi 13 mai (Montpellier) Jeudi 12 mai après-midi Irreprésentable? Présidente de séance: Claudie Bernard 14 h 30. Accueil et présentation du programme Fictions de la Révolution 15 h. Stéphanie Genand (université de Rouen),«Repenser l’âme sauvage en 1800 (Staël, Sade, Chateaubriand)» 15 h 45. Xavier Bourdenet (ESPE Paris-Sorbonne), «Points de fuite: la Révolution comme irreprésentable ( Les Chouans )». 16 h 45. Sophie Lucet (université Paris-Diderot), Autour de "l’introuvable" drame national sur la Révolution (Goncourt, Rolland, Sardou, etc.) Vendredi 13 mai, matinée Raconter Président de séance: Jean-Marie Roulin 10 h. Céline Léger (université Jean-Monnet, Saint-Étienne / université Paul-Valéry, Montpellier), « Madame Thérèse, ou Les volontaires de 92 d’Erckmann-Chatrian: la Révolution saisie par le “détail”»? 10 h 45. Claudie Bernard (New York University, États-Unis), «“Ne touchez pas à la hache”. La malédiction du couperet dans Sous la hache d’Elémir Bourges» 11 h 45. Guillaume Milet (Université Lyon 2), « Ceci est le commencement du règne de l’Évangile éternel » : Spiridion de George Sand, une fiction didactique de la Révolution 12 h 30. Paul Kompanietz (lycée Carnot, CPGE / UMR IHRIM), «La Terreur dans Stello » Vendredi 13 mai, après-midi Figurer Président de séance: Xavier Bourdenet 14 h 30. Sylvie Vielledent, «Le Chouan dramatique: avatars d’une figure de la contre-révolution» 15 h 15. Jean-Marie Roulin (université Jean-Monnet, Saint-Étienne / UMR IHRIM), «La Révolution déterritorialisée: Jocelyn de Lamartine» 16 h 15. Corinne Saminadayar-Perrin (université Paul-Valéry, Montpellier), «Rimbaud, “Le Forgeron”».

Les manuels de langue et de littérature étrangèrescomme médiateurs culturels : Québec-Canada-Europe

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Les manuels de langue et de littérature étrangèrescomme médiateurs culturels : Québec-Canada-Europe La Chaire d’études romanes et de communication interculturelle, le Centre d’études interculturelles sur le Québec et la francophonie nord-américaine et la Chaire de linguistique romane de l’Université de La Sarre organisent deux journées d’étude bilingues (français, allemand) sur les manuels de culture étrangère. Celles-ci se tiendront les 19 et 20 mai 2016, à Saarbrücken, en Allemagne. Lieu : Graduate Centre (building C9.3) Entrée libre PROGRAMME JEUDI 19 MAI 13.30h : Accueil des participants et mot de bienvenue des organisatrices 13.45-14.30h : Conférence d’introduction de la première journée Christoph Vatter , Juniorprofessor (Universität des Saarlandes),« Les manuels de langue et de littérature étrangères et la problématique interculturelle » 14.30-15.30h : Workshop I :L’interculturel en contexte francophone (Présidence: Christoph Vatter) Bruno Maurer , Professeur des Universités (Université Montpellier III),« La dialectique du Même et de l’Autre au miroir de manuels de FLE et de FLS : trois positionnements différents en Europe, en Afrique, au Maghreb » Mohammed Aguidi , Étudiant chercheur (Université Mohamed Premier, Maroc) et Brahim Bel-Mkaddem , Doctorant (Université Paul Valéry, Montpellier/Université Sidi Mohamed Ben Abdellah Fès, Maroc),« Le rôle interculturel du texte littéraire francophone dans le manuel de FLE au tronc commun du secondaire qualifiant marocain (toutes filières confondues) » 15.45-17.15h : Workshop II :Les relations franco-allemandes dans les manuels (Présidence : Julia Montemayor) Annika Rauch , Wissenschaftliche Mitarbeiterin (Johannes Gutenberg Universität Mainz, Institut für Erziehungswissenschaft/AG Schulpädagogik),«‘Nous voilà’ – La question de la construction identitaire dans les manuels scolaires d’allemand en France. L’image de l’Allemagne à travers de la loupe textuelle et imagée» Susanne Geiling-Hassnaoui , Postdoctorante (Universität des Saarlandes/ Université de Reims); professeure agrégée d'allemand (lycée Bayen/Châlons-en-Champagne),«Le potentiel interculturel des textes littéraires dans les manuels d’allemand pour le cycle terminale du lycée en France» Corinna Koch , Juniorprofessorin (Universität Paderborn) et Christine Adammek , Wissenschaftliche Mitarbeiterin (Universität Paderborn),«Werbung als kultureller Mittler: Lehrwerkanalyseergebnisse und erweiternde Vorschläge » 17.30-18.30h : Workshop III :Les manuels de FLE dans le monde : altérité et stéréotypes (Présidence : Vera Neusius) Ema Pongrašić , Professeure de FLE (Alliance française du Zagreb, Croatie),« Les stéréotypes, la culture maternelle et la francophonie dans les manuels croates de FLE » Mélanie Buchart , Maître de conférences (Université de Helsinki, Finlande),« La matérialité discursive des représentations de l’altérité française/ francophone dans les manuels de FLE finlandais » VENDREDI 20 MAI 9.30-10.15h : Conférence d’introduction de la Deuxième journée Sophie Dubois , Postdoctorante (Universität des Saarlandes),« Les manuels de langue et de littérature étrangères comme objets d’étude » 10.30-12.00h : Workshop IV :Les manuels de FLE : variantes et périphérie (Présidence : Sophie Dubois) Catherine Gravet , Chargée de cours (Université de Mons, Belgique),« Entendons-nous , une méthode de FLE à la belge » Stefanie Fritzenkötter (Universität Trier/Gymnasium auf dem Asterstein, Koblenz),« Die Akadie (Kanada) und Acadiana (USA) im Oberstufenunterricht : Literaturschau und Unterrichtsvorschläge » Edith Szlezák , Wissenschaftliche Mitarbeiterin (Universität Regensburg),«La représentation du Québec dans les manuels scolaires de Bavière : perspectives culturelles et linguistiques» 13.30-15.00h : Workshop V :Manuels, recherche et enseignement au Québec et au Canada (Présidence : Hans-Jürgen Lüsebrink) Èric Viladrich i Castellanas , Chargé de cours et responsable des programmes en études catalanes (Université de Montréal, Canada),« Représentation socioculturelle de la Catalogne et des pays catalans au Québec: bilan des 8 ans d’enseignement du catalan à l’Université de Montréal » Yves Frenette et Yves Labrèche , Professeurs (Université de Saint-Boniface, Canada),« Représentation de l’Autre dans les manuels scolaires utilisés au Manitoba français (Canada) : de l’inventaire à l’analyse de contenu » Anne Trépanier , Professeure associée (School of Canadian Studies, Université de Carleton, Canada),« Enseigner le Québec en anglais; entre traduction et interprétation » 15.15-16.45h: Table ronde : les manuels allemands sur le Québec (animée par/moderiert von: Prof. Dr. Hans-Jürgen Lüsebrink et Prof. Dr. Claudia Polzin-Haumann) avec/mit: Helga Bories-Sawala ( Découvrir le Québec. Une Amérique qui parle français , Schöningh, 2010) Ulrike C. Lange ( Le Québec , Klett, 2011) Peter Klaus ( Canadian Mosaic/Mosaïque canadienne , Cornelsen, 1993) 16.45-17.00h : Mot de clôture et fin des journées d’étude

Authorship in Postcolonial Context (Columbia University)

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Columbia Global Center et PSL organise un atelier d'étude : Authorship in postcolonial context Co-organized by Joseph Slaughter (Columbia University) and Gisèle Sapiro (EHESS) Modern notions of the author emerged within the Western context of legal and social regimes that excluded women, slaves, colonial subjects, and many non-nationals not only from the category of full citizenship but from authorship as well. That legacy remains with us in the contemporary postcolonial era. This workshop on Postcolonial Authorship will consider some of the current conditions and constraints on writers in the wake of colonialism and in the new imperial formations. What are the circumstances of production (reading, writing, and publishing) for postcolonial authors? How do postcolonial dynamics change the image of the author and the conception of authorship? How do the histories of colonialism and imperialism inflect the (im)possibilities of “World Literature” today? 9:30 - Introduction. Joseph Slaughter and Gisèle Sapiro 9:45 - Joseph Slaughter (Columbia), Kissing the Book: Slavery, Colonialism, and the Creation of Black Literary Property. 10:15 - Madeline Bedecarré (EHESS), Prizing francophone African Authors: Uneven Circuits of Consecration. 10:45 - Break 11:00 - Dominique Combe (ENS), Postcolonial studies in France. 11:30 - Lydie Moudileno (University of Pennsylvania, visting professor at EHESS), Qu’est-ce qu’un auteur postcolonial? 12:00 - Tristan Leperlier (EHESS, Paris 8), L’identité de l’"écrivain algérien" au prisme de la relation postcoloniale. 12:30-13:00: General discussion and conclusive remarks /Discussion générale et remarques conclusives L'atelier sera suivi d'un lunch.

Retranslation in Context - La retraduction et son contexte (Gand)

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Appel à contributions : Retranslation in Context III. Conférence internationale sur la retraduction Universiteit Gent (Belgique) les 7 et 8 février 2017 Date limite pour l'envoi des propositions: 1er juillet 2016 Paul Bensimon et Anoine Berman avaient en 1990 consacré un numéro de la revue Palimpsestes à la thématique du "Retraduire", en y abordant d'emblée un certain nombre de topiques de ce qui relève désormais de la "théorie de la retraduction" ou " Retranslation Theory " (cf. Brownlie 2006). Le concept de retraduction se comprend dans sa double acception qui recouvre d'une part l'acte consistant à traduire un texte qui a déjà été traduit antérieurement dans une même langue et d'autre part le résultat de cet acte, le texte retraduit à proprement parler (Tahir Gürçağlar 2009, 233). Le phénomène est révélateur de l'enjeu traductif et se pratique partout dans le monde : depuis toujours les "classiques" littéraires, mais aussi de nombreux textes religieux, politiques ou philosophiques ont dans bien des cultures et bien des langues fait l'objet de traductions se superposant les unes aux autres. Quoique les matériaux existants soient abondants, la traductologie ne s'est penchée que récemment sur l'existence de la retraduction qui désormais intrigue les chercheurs. L'entrée " Retranslation ", absente encore dans sa première édition de 1998, a fait son apparition en 2009 dans la Routledge Encyclopedia of Translation Studies et Koskinen & Paloposki sont les auteurs d'un chapitre sur la retraduction dans le Handbook of Translation Studies (2010). Plus récemment encore, Deane-Cox (2014) a consacré une monographie au phénomène dans le champ de la traduction littéraire. La revue Target a quant à elle publié un numéro spécial intitulé “ Voice in Retranslation ” (2015), sous la rédaction de Alvstad et Assis Rosa. Sous l'intitulé Retranslation in Context , deux conférences internationales tenues à l'université du Bosphore (Boğaziçi University) à Istanboul en décembre 2013 et novembre 2015 ont en outre mis la retraduction à l'ordre du jour. Le présent appel à contributions s'inscrit dans la lignée de ces rencontres internationales qui se poursuivront dans le cadre d'un troisième colloque ( RiC3 ) sur la retraduction, mais cette fois à l'université de Gand en Belgique néerlandophone. Paloposki et Koskinen (2010, 30-31) ont fort justement constaté que si le phénomène de la retraduction avait été abordé sous plusieurs angles, il n'avait jamais encore été circonscrit avec précision et bien des assertions concernant cette problématique reposent encore trop souvent sur des observations intuitives. La présente initiative a pour objectif de permettre aux chercheurs en traductologie d'appréhender la retraduction par le biais d'approches multidisciplinaires qui permettront par l'étude des matériaux collectés de mieux cerner la problématique du processus qui consiste à envisager la retraduction d'un texte déjà traduit. Les contributions attendues se concentreront par exemple sur les différents aspects de la retraduction dans des études de cas, mais peuvent aussi s'étendre sur des considérations d'ordre méthodologique. Les analyses de cas concrets seront ainsi confrontés aux hypothèses théoriques qui peuvent en être induites. Il reste entre autres à explorer toute l'histoire de la retraduction et ses interactions avec l'histoire de la traduction tout court ou encore le rôle des différents agents qu'implique le processus de retraduction dans la mise en place du canon de la litérature mondiale. Un certain nombre de motivations qui entraînent la retraduction ont été répertoriées, mais certains de ces facteurs (comme le vieillissement) n'ont guère fait l'objet d'études empiriques systématiques. Nous ignorons aussi dans quelle mesure il peut être question de progrès en matière de retraduction et si des études de réception peuvent démontrer ou non si ces progrès sont perçus par le public auquel les textes sont destinés. Il existe ainsi des cas de traducteurs qui, insatisfaits d'une première mouture, reviennent sur leur travail et s'en expliquent dans des paratextes. A un niveau plus général, dans un contexte de rapports de force entre cultures, il est légitme de se demander si les systèmes de littérature prépihérique présentent une autre politique de retraduction que la politique éditoriale des cultures dominantes. Il demeure intrigant de cerner en outre en quoi les versions antérieures diffèrent des retraductions plus tardives. Et faut-il parler dans certains cas de révision plutôt que de retraduction ? Qu'en est-il enfin des questions d'attribution et de plagiat ? Autant de champs qui restent à explorer. Sans doute le domaine où la retraduction est le plus immédiatement prise en considération est-il celui de la littérature, mais la conférence désire élargir le débat en impliquant dans son champ d'activités les discours philosophiques, politiques ou médiatiques qui sont bien souvent déterinants dans la longue durée et la mise en place des structures profondes d'une civilisation. Traductions et retraductions gardent en outre souvent la trace de manipulations ou de stratégies de censure qui révèlent une communication complexe entre cultures. Les contributions aborderont par conséquent sans exclusive tous les thèmes qui touchent à la retraduction, et en particulier : - L'histoire de la retraduction et le canon littéraire - Les motifs qui incitent à la retraduction (viellissement, idéologie,....) - Réception et retraduction - Auto-retraduction - La retraduction dans le système des rapports de force littéraires (centre et pépiphérie) - L'éthique de la retraduction (attribution, plagiat, copyright) - La retraduction de textes historiques, philosophiques, politiques - La retraduction de textes médiatiques Bibliographie indicative : Alvstad, C., Assis Rosa, A. (2015). “Voice in retranslation. An overview and some trends.” Target 27 (1), 3-24. Bensimon, P. (1990). “Présentation.” Palimpsestes 4, ix–xiii. Berman, A. (1990). “La Retraduction comme espace de traduction.” Palimpsestes 4, 1–7. Brownlie, S. (2006). “Narrative theory and retranslation theory.” Across Languages and Cultures 7 (2), 145-170. Deane-Cox, S. (2014). Retranslation. Translation, Literature and Reinterpretation . London/New Delhi/New York/Sydney: Bloomsbury. Koskinen, K., Paloposki, O. (2010). “Retranslation.” In Y. Gambier, L. van Doorslaer (eds) Handbook of Translation Studies , Volume 1. Amsterdam/Philadelphia: John Benjamins, 294–298. Paloposki, O., Koskinen, K. (2010). “Reprocessing texts. The Fine Line between Retranslating and Revising.” Across Languages and Cultures 11 (1), 29-49. Tahir Gürçağlar, Ş. (2009). “Retranslation.” In M. Baker, G. Saldanha (eds) Routledge Encyclopedia of Translation Studies . Second edition. London/New York: Routledge, 233-236. Institutions organisatrices : Vrije Universiteit Brussel (VUB) Universiteit Gent (UGent) Centre en Littérature et Traduction (CLIV) Le Centre en Littérature et Traduction est un groupe interuniversitaire de recherche associant des chercheurs de la Vrije Universiteit Brussel (VUB) et de l’Universiteit Gent (UGent) (voir http://www.cliv.be ). Site web de la conférence : http://www.cliv.be/en/retranslationincontext3/ Langues de travail : anglais, français et néerlandais Conférenciers invités : Özlem Berk Albachten (Boğaziçi University) Kaisa Koskinen (University of Eastern Finland) Outi Paloposki (University of Turku) Comité organisateur : Lieve Jooken (UGent) Sonja Lavaert (VUB) Guy Rooryck (UGent) Gullermo Sanz Gallego (UGent) Arvi Sepp (VUB & UAntwerpen) Yves T’Sjoen (UGent) Piet Van Poucke (UGent) Comité scientifique : Özlem Berk Albachten (Boğaziçi University) Cecilia Alvstad (CLIV, University of Oslo) Alexandra Assis Rosa (Universidade de Lisboa) Michael Boyden (CLIV, Uppsala University) Sharon Deane-Cox (University of Edinburgh) Philippe Humblé (CLIV, Vrije Universiteit Brussel) Natalia Kaloh Vid (CLIV, University of Maribor) Kaisa Koskinen (University of Eastern Finland) Ilse Logie (CLIV, Universiteit Gent) Eric Metz (Universiteit van Amsterdam) Reine Meylaerts (KULeuven) Outi Paloposki (University of Turku) Şehnaz Tahir Gürçağlar (Boğaziçi University) Andrew Samuel Walsh (Universidad Pontificia de Comillas, Madrid) Patricia Willson (CLIV, Université de Liège) Prière d'envoyer un résumé (max. 300 mots en anglais, français ou néerlandais) de votre contribution (dont la version définitive ne devra pas excéder 20 minutes) ainsi qu'une brève notice biographique (max. 150 mots) en un seul document à retranslation@UGent.be . Date limite : le 1er juillet 2016. Notification aux auteurs des propositions : 1er août 2016. Veuillez noter qu’il sera demandé € 100 de frais de participation à la conférence. Les organisateurs de la conférence ont prévu une publication des contributions.

Cinétrens , n°2, «Cartographie»

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Cinétrens , n°2,«Cartographie» Date limite pour l'envoi des articles: 1 er septembre 2016 La revue Cinétrens est née à l'École Normale Supérieure de Lyon d'une initiative étudiante. Son ambition est d’ouvrir le champ cinématographique à une approche transdisciplinaire, c’est la raison pour laquelle nos appels à contributions s’adressent tout autant à des écrivains de cinéma – théoriciens, critiques ou auteurs – qu’à des cinéphiles d’autres horizons, désireux d’éprouver leur champ de spécialisation sur le territoire du cinéma. Chaque numéro propose ainsi un objet susceptible d’intéresser le cinéma, qui le travaille de l’intérieur et participe à sa définition ou à celle des pratiques des réalisateurs et des spectateurs. Cet appel est donc ouvert à toutes formes d’écriture, analytique, critique ou de création. Après avoir abordé dans un premier numéro la thématique du «Rituel», le prochain numéro de la revue Cinétrens portera sur la «Cartographie.» La cartographie et le cinéma partagent le même désir de l’anamorphose du réel. L’acte de transformer et de projeter sur une surface plane un ensemble d’informations, comme un reflet, une compréhension du monde, entraîne la carte et le film, ces deux types d’images, vers une relation intime voire amoureuse. Comme le cinéma, disait Serge Daney, la carte est une promesse, une promesse de voyage. Il suggérait un parallèle entre l’amour des films et l’amour des cartes, qui l’avaient fasciné, enfant, du fait de leur découpe méticuleuse de l’espace, de sa recomposition géométrique et colorée, de leurs jeux d’échelles, et plus largement, de la négociation perpétuelle entre la vision locale de l’homme et celle, globale, de Dieu. Celui qui regarde une carte embrasse d’un coup d’œil l’ensemble d’un monde. Entre la fondation scientifique de la carte comme représentation objective et la multiplicité des productions et des interprétations, cosmogoniques et subjectives, poétiques et esthétiques, auxquelles elle donne lieu, la carte répond à des formes variées de modélisation. Teresa Castro distingue deux définitions historiques et théoriques de la carte. D’une part, celle-ci se présente comme système de communication par signes - Pierce par exemple range la carte dans la catégorie des «signes iconiques» : toute carte n’atteste pas nécessairement de l’existence de son référent. D’autre part, la carte s’entend comme un «dispositif visuel», c’est ainsi que les géographes la comprennent. Elle est pour eux une modélisation d’un espace réel et ne peut se concevoir qu’en référence à cet espace. Cette voie renonce à considérer la carte comme un ensemble de signes à déchiffrer mais s’intéresse aux enjeux matériels et structurels qui conditionnent son existence. Christian Jacob parle dans L’Empire des cartes de la «pluralité des dispositifs» montrant à quel point la carte est «un mélange problématique, ou la transparence de l’illusion référentielle coexiste avec l’opacité d’un support qui matérialise cette image.» Ainsi ne voudrions-nous pas opérer une comparaison entre l’image d’une carte et l’image cinématographique mais plutôt révéler leur comportement jumeau, à la fois sur le plan historique et théorique. Nous voudrions alors interroger ce que Teresa Castro appelle «l’appel cartographique» du cinéma mais également le devenir réciproque de la carte, sa dérive cinématographique. Nous déterminons trois tentations partagées par le cinéma et la cartographie: - Un langage universel . Comme les géographes, les théoriciens du cinéma ont cherché à déterminer une grammaire des images filmiques pouvant concurrencer le langage textuel ou pictural. Dans ce moment structuraliste, le cinéma comme la carte furent considérés comme des ensembles d’informations relayés par des signes et des conventions. Les chorèmes du géographe français Roger Brunet, par exemple, tentent d’établir un alphabet du langage cartographique. Cette tentative théorique formulée par Christian Metz et Jean-Louis Baudry répond à l’utopie cinématographique d’un langage universel inaugurée par Dziga Vertov depuis La Sixième Partie du monde (1926) , essai cartographique des peuples de la Russie soviétique, jusqu’au premier intertitre de L’Homme à la caméra en 1929. - Un outil de domination . Roger Brunet précise dans l’entrée «carte» des Mots de la géographie que «l’on rappelle volontiers que la carte n’est pas le territoire, ce qui est au mieux une tautologie, et au pire une expression de la crainte de ce qu’elle pourrait révéler. Il faut dire que la carte a toujours eu une grande puissance de rêve, d’évocation, voire de domination.» En effet, la carte est un outil pour maîtriser l’espace et également le temps. Elle révèle historiquement, avec des applications différentes, la valeur performative de l’image qui acte et atteste par le simple fait de montrer. Dans quelle mesure peut-on porter au crédit du cinéma une telle puissance de mise en forme symbolique de la réalitéou d’ordonnancement des représentations du pouvoir (pensons par exemple au générique des Dieux du stade de Leni Riefenstahl, tableau cartographique de la glorieuse Allemagne nazie) ? - Le reflet parfait de la réalité . Voilà le rêve le plus fou et le plus démesuré de ces deux dispositifs visuels dont les régimes de représentation reproduit à différentes échelles la réalité. La carte se fonde sur des opérations mathématiques de reconnaissance et de calcul, le satellite épousant avec exactitude le contour de notre planète. Depuis les procédés photochimiques jusqu’aux calculs de l’image numérique, le cinéma a toujours cherché à fonder une représentation «parfaite» de la réalité jusqu’à vouloir la réinventer complètement. De même que les utopies ont formalisé leur monde par le moyen d’une cartographie de l’imaginaire, le cinéma use de la carte pour représenter ses mondes possibles sans référence à une quelconque réalité: on remarquera que paradoxalement dans ces films, c’est l’outil cartographique même qui vient attester de la réalité de cet espace. Les différentes tentations éprouvées par ces deux typesd’images, de l’hyper-réalisme aux cartes fantasmatiques, interroge constamment notre propre relation avec le monde et ses objets. D’autres articulations entre images cartographiques et cinématographiques pourraient sûrement être formulées, il revient à nos futurs contributeurs de les éprouver sur le champ de leur propre domaine d’intérêt, de la topologie cérébrale des neurosciences aux cartes poétiques des Surréalistes, en passant par la notion de mapping dans le champ de l’imagerie informatique ou de la création artistique contemporaine. Notes aux rédacteurs - La date limite d'envoi des articles est fixée au 1 er septembre2016 .- La contribution proposée devra au minimum comporter 8.000 signes (espaces comprises), et ne pourra excéder 25.000 signes. - L'usagedes intertitres est fortement conseillé dans le cours de l’article, pour mieux en montrer les articulations. - Les contributions de type analytiquedevront respecter les conventions typographiques usuelles de la rédaction universitaire.Les notes de bas de page devront être au format : NOM, Prénom, Titre , Lieu, Edition, pagination. - La soumission des articles se fait par courrier électronique au format .docx à l’adresse redaction.cinetrens@gmail.com

Ch.Bonn, Lectures nouvelles du roman algérien - Essai d'autobiographie intellectuelle

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//www.fabula.org/actualites/documents/74017.pngCharlesBonn, Lectures nouvelles du roman algérien - Essai d'autobiographie intellectuelle ,Paris, Classiques Garnier, coll.Bibliothèques francophones, 2016. EAN : 9782812451072 280 pages Prix : 29 € À travers les lectures récentes du roman algérien par son auteur, cet ouvrage montre comment les concepts de postcolonial, de modernité et de postmodernité, de tragique ou de roman familial peuvent servir ou non pour caractériser une relation nouvelle entre littérature et histoire, politique, mais aussi intimité. Table des matières
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