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Channel: Fabula, la recherche en littérature
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L'Infini , n°124, automne 2013: "Surréalisme"

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L'Infini , n°124"Surréalisme"Automne 2013Gallimard, 128 p. / 15 ill.ISBN: 9782070141883SOMMAIRE :Philippe Sollers , Jeunesse du surréalisme - Céline en Allemagne - Le sexe des Lumières - Vitesse de Sartre - Heidegger en passantNicolas Idier , La musique des pierresJacqueline Risset, Les instants les éclairsPierre Marlière , Libertinage et langageJean-Hugues Larché , Virtuosité du cœurÉric Marty , La jeune fille noire photographiée nueAlain Jaubert , Turner érotique

H. Levillain, Saint-John Perse

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Henriette LevillainSaint-John PerseEditions Fayard, coll. "Biographies littéraires", 2013550 p.EAN : 978221366900732,00 EURPrésentation de l'éditeur:A quel moment Alexis Leger a-t-il découvert Saint-John Perse ? A quel moment l’un s’est-il placé derrière ou devant l’autre ? Pourquoi Alexis Leger a-t-il voulu que Saint-John Perse reste endormi pendant plus de quinze ans dans le trésor de son imaginaire ? Comment Saint-John Perse a-t-il ressuscité quand il est parti pour New York en juin 1940, humilié par Hitler, calomnié par une femme qui détestait celle qu’il aimait.Depuis l’enfance aux Îles, dans le désert de Gobi ou sur les mers, au gouvernail du Quai d’Orsay ou en exil, dans la solitude ou l’amour, Saint-John Perse rêvait sa vie et tentait d’ajuster les faits à son idéal. Quand il n’y parvenait pas, il écrivait pour « mieux vivre ».Orphelin de père à 20 ans, il rechercha avidement l’amitié de pères adoptifs. En littérature : Francis Jammes, Gabriel Frizeau, André Gide et Paul Claudel. En politique : Philippe Berthelot et Aristide Briand. Et tout au long de son exil aux États-Unis, il fut adopté par des admiratrices talentueuses et fortunées, Mina Curtiss, Katherine Biddle et Beatrice Chanler.Dans cette biographie littéraire richement documentée, Henriette Levillain veut comprendre l’énigme d’une personnalité puissante, secrète et controversée à laquelle on reprocha sa mythomanie ou de s’être enlisé dans un gaullisme de mauvais aloi.Henriette Levillain , professeur émérite à Paris 4 – Sorbonne est l’auteur de nombreux ouvrages et articles sur Saint-John Perse, ses origines antillaises et son contexte littéraire. Elle a également publié des études sur le dandysme, le baroque, Mémoires d’Hadrien , La Princesse de Clèves , Dante .

P. Brunel & Y. Daniel (dir.), Paul Claudel en Chine

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Paul Claudel en ChineSous la direction de Pierre Brunel et Yvan DanielRennes : Presses Universitaires de Rennes, coll. "Interférences", 2013.192 p.Prix : 15EUR.EAN :9782753527980.Présentation de l'éditeur :Profondément marqué par son séjour en Chine dont il se souviendra comme du «stage du magicien au pays des génies», Paul Claudel compose pendant sa mission quelques-unes de ses œuvres les plus importantes: le poète donne les proses poétiques de Connaissance de l’Est , élabore l’ Art poétique comme les Cinq Grandes Odes , le dramaturge imagine l’étonnant et méconnu «drame chinois» du Repos du Septième jour et le célèbre Partage de Midi .Pierre Brunel est professeur émérite de littérature comparée à l’université de Paris-Sorbonne (Paris 4).Yvan Daniel est professeur de littérature comparée à l’université de La Rochelle.

Mondes possibles, mondes numériques: enjeux et modalités de l’immersion fictionnelle

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Appel à communicationsMondes possibles, mondes numériques: enjeux et modalités de l’immersion fictionnelleColloque organisé du 18 au 20 juin 2014 à l’Université du Maine (Le Mans) , dans le cadre des travaux du 3L. AM (Laboratoire de Langue, Littérature et Linguistique des Universités d’Angers et du Mans), par Laurent Bazin, Anne Besson et Nathalie Prince.À l’occasion de ce colloque se tiendra l’assemblée générale de la LPCM (association des chercheurs en Littératures Populaires et Culture Médiatique)ArgumentaireS’il est périlleux de prétendre rendre compte des mutations d’épistémè dans le temps même qu’elles sont censées se produire, du moins peut-on sans risque d’erreur mettre en évidence le changement de paradigme qui a vu l’ère du numérique succéder en quelques décennies seulement à la galaxie Gutenberg. Dit autrement, on est passé d’une civilisation de l’imprimé à la prépondérance des écrans; il en résulte la mise en œuvre de nouveaux cadres de référence et de réception dont la montée en puissance pourrait sembler reléguer l’écrit en général, et le texte littéraire en particulier, en marge de la conscience contemporaine au profit de l’immédiateté des médias, de la fascination des images et du prestige du Web.À ce constat désenchanté, il faut toutefois opposer la persistance du champ littéraire, avec en particulier l’essor éditorial de la littérature pour la jeunesse, dont la place avérée dans les pratiques de consommation culturelle témoigne de son rôle structurant dans la constitution d’un imaginaire collectif des jeunes générations, de même que l’évolution des littératures de l’imaginaire ( fantasy , science-fiction…) qui touchent elles aussi un public élargi. Loin de s’opposer à la révolution numérique, de telles productions semblent au contraire l’accompagner, voire la mettre en scène, à travers le motif récurrent des mondes possibles, thème obsessionnel de la fiction contemporaine.Reste à savoir comment ces différentes modalités de l’évasion dans d’autres univers (à travers les textes ou par le biais des jeux vidéo, jeux de rôle et autres jeux en ligne) entrent en résonance dans les perceptions contemporaines. Peut-on considérer que les expériences sont superposables dès lors que «fiction» et «play» sont souvent confondus au nom d’une adhésion collective au paradigme de l’immersion ? Ou bien faut-il les considérer comme radicalement distinctes, comme ont pu un temps le revendiquer les game studies ? On se rappelle que Jean-Marie Schaeffer, dans la fameuse ouverture de Pourquoi la fiction? , rapprochait pour sa part Madame Bovary de Lara Croft dans l’intention de couvrir la totalité du spectre fictionnel, considérant précisément que le propre de la fiction serait d’instituer un mode d’immersion dans l’univers postulé (la feintise ludique), caractérisé par des modes de projection similaires par-delà la disparité de leurs réalisations.Ce ne serait donc pas un hasard si la fortune critique des théories de la fiction visant à rendre compte des phénomènes littéraires à l’aune du vieux mythe des mondes possibles 1 coïncide avec le succès de «mondes imaginaires» revisités par le cinéma ( Harry Potter adapté par Hollywood, Tolkien revu et corrigé par Peter Jackson, Narnia de C.S. Lewis ou His Dark Materials de Philip Pullman promus en blockbusters), la généralisation croissante des consoles de jeux ou encore l’engouement médiatique et public pour les existences alternatives et les univers persistants ( Second life , World of Warcraft …).L’objet de ce colloque est donc d’ interroger la façon dont s’entrelacent aujourd’hui les trois notions de «fiction», de «monde» et de «jeu». On pourra notamment et entre autresdévelopper les pistes de réflexion suivantes :- imaginaires des mondes et paradigmes théoriques, dans leurs différents investissements disciplinaires;- représentations de l’expérience des mondes ludiques dans la littérature, et symétriquement, modes de présence des mondes littéraires quand ils font l’objet d’adaptations ludiques;- multiplication des expériences «transmedia» et «crossmedia»autour de «mondes» partagés : quelles places y tiennent les différents médias, avec quels enjeux?- analyse des comportements psycho-cognitifs mis en jeu selon les modalités de l’immersion;- sociologie des pratiques et usages en fonction des supports considérés…Ce sont ces convergences et ces nuances qu’il s’agira d’observer, voire de remettre en cause dans leur évidence première, pour tenter de forger une conception moderne de ce que serait une culture accordant la même valeur à la dimension artistique qu’au poids du numérique. C’est dire qu’une telle réflexion ne relève pas seulement du champ de l’esthétique, mais tout autant du politique dans la mesure où s’y jouent des questions d’héritage et de rupture, de transmissions patrimoniales et de conflits intergénérationnels, bref de comportements (inter)culturels et donc de modes de vie, de représentation autant que de pensée.[1] Entre autres: Pavel, Univers de la fiction ; Dolezel, Heterocosmica ; Eco, Lector in fabula ; Ryan, Possible Worlds, Artificial Intelligence and Narrative Theory ; Lavocat, La Théorie des mondes possibles et l’analyse littéraire …ModalitésLe colloque proprement dit se déroulera pendant les deux journées du 19 et 20 juin. Il sera précédé le 18 juin après-midi par un workshop pour les jeunes chercheurs s’inscrivant dans la problématique et dans le contexte théorique et méthodologique du colloque. Ce workshop , avec modérateur, consistera en une présentation rapide de leurs travaux de recherches s’appuyant sur un poster.Les propositions (environ 3000 signes espaces compris, précisant s’il s’agit d’un poster ou d’une communication pour le colloque) doivent être envoyées, accompagnées d’une courte notice biographique, à Laurent Bazin (laurentbazin60@gmail.com), Anne Besson (annebesson@free.fr) et Nathalie Prince (nathalie.prince@bbox.fr) avant le 31 décembre 2013 .OrganisationLaurent Bazin, laboratoire 3L.AM, Université du MaineAnne Besson, E.A. «Textes et Cultures», Université d’ArtoisNathalie Prince, laboratoire 3L.AM, Université du MaineComité scientifiqueGilles Brougère, Université Paris Nord-VilletaneuseVincent Ferré, Université Paris Est Créteil (UPEC)Irène Langlet, Université de LimogesFrançoise Lavocat, Université Paris III-Sorbonne NouvelleMarc Lits, Université de LouvainFrancis Marcoin, Université d’Artois (Arras)Brigitte Ouvry-Vial, Université du MaineRichard Saint-Gelais, Université Laval (Québec)Url de référence : http://3lam.univ-lemans.fr/fr/index.html

Ch. Ribeyrol, Étrangeté, Passion, Couleur. L’hellénisme de Swinburne, Pater et Symonds (1865-1880)

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Charlotte Ribeyrol, Étrangeté, Passion, Couleur. L’hellénisme de Swinburne, Pater et Symonds (1865-1880) Grenoble : Ellug, coll. " Esthétique et représentation: monde anglophone (1750-1900)", 2013EAN 9782843102509262p.Prix : 24EURRésumé:Ce livre porte sur l’hellénisme de trois auteurs victoriens appartenant au mouvement esthétique (« Aestheticism» )dans les années 1860-1880 : A.C. Swinburne, W. Pater et J.A.Symonds.L’hellénisme naît dans le sillage romantique de l’œuvre de Winckelmann dont la vision épurée de l’antique contraste avec l’esthétique du trouble qui se fait jour dans l’œuvre de ces poètes et essayistes. Pater, Swinburne et Symonds, dont les écrits sont encore peu connus en France, furent en effet en quête des parts d’ombre de la Grèce, son altérité, ses couleurs, en lien avec les nouvelles excavations archéologiques et les découvertes anthropologiques contemporaines.Cette étude entend réévaluer la dimension résolument subversive du modèle hellénique invoqué par ces trois figures ainsi que par certains peintres de leur cercle proche. L’ouvrage s’articule autour de quatre parties reflétant les multiples perceptions d’une Grèce antique sans cesse réinventée. La première, consacrée à l’ «utopie» hellénique, interroge les difficultés d’appréhender l’Hellade antique, espace-temps indéfini de survivances, qui suscite chez le poète la nostalgie d’être né trop tard. Puis l’auteur étudie les figures liminaires d’indifférenciation comme l’hermaphrodite, tout autant objet de désirs homoérotiques que modèle d’une écriture ambiguë, androgyne. La troisième partie explore les nouvelles couleurs de l’antique qui viennent mettre à mal les fantasmes de blancheur winckelmanniens au profit d’une esthétique dionysiaque. Enfin, la dernière section de l’ouvrage analyse de manière plus métatextuelle la mythopoïétique originale des Esthètes et leur célébration souvent complexe de figures et modèles de création, de Pygmalion à Dédale, d’Aphrodite à Phryné.Un épilogue consacré à l’hellénisme au féminin ou «hélènité» de Vernon Lee, Virginia Woolf et H.D. clôt le livre en montrant l’influence essentielle, au tournant du XXème siècle, de l’hellénisme dissident de Pater, Swinburne et Symonds.L'auteurDomaine de recherche : Hellénisme victorien, liens texte et image, Esthétisme, histoire culturelle de la couleurPublications : Charlotte Ribeyrol est l'auteur de plusieurs articles sur la poésie et la peinture victoriennes ainsi que d’un ouvrage collectif intitulé Inventer la peinture grecque antique , publié aux presses d’ENS-Éditions en 2012.TABLE DES MATIERESTABLE DES ILLUSTRATIONSINTRODUCTIONPREMIERE PARTIECHAPITRE ILe proche et le lointain : l’utopie hellénique Grèce moderne ou Grèce antique ? L’aporie orientale Sur les traces de Pausanias Hellénité et anglicité : échos et transpositionsCHAPITRE IIL’anachronisme grec : les survivances de l’antique L’ ars memoriae ou la mémoire de l’antique Renaissances helléniquesCHAPITRE IIIUn hellénisme palimpsestuel Grec ou Gothique ? Les marbres du Parthénon et l’éventail d’Hokusai : hellénisme et japonismeDEUXIEME PARTIECHAPITRE IVL’exploration des marges : le territoire d’Hermès Espaces liminaires Le temps de l’indifférenciéCHAPITRE VLes figures du désir De l’androgyne à l’hermaphrodite Des adolescents en fleurs Le mythe du troisième sexeCHAPITRE VIL’Artiste comme hermaphrodite intellectuel Perversions littéraires : la tentation du travestissement poétique D’Hermaphrodite à Méduse : entre classique et grotesque Vers une esthétique androgyne ?TROISIEME PARTIECHAPITRE VIIL’héritage de la blancheur Le mythe de la blancheur grecque La tentation de la transparence apollinienne La blancheur dévoyéeCHAPITRE VIII« La couleur homérique » : recolorer l’antique Le mythe de Pygmalion : désir et couleur Couleurs chthoniennes Le désir de blessure : les couleurs du corpsCHAPITRE IXLa Grèce, lieu de l’hyperesthésie « Colour-blindness » Déviations chromatiques : le rôle de la synesthésieQUATRIEME PARTIECHAPITRE XUne nouvelle mythopoïétique Filiations rompues Du fragment à la trace Le mythe de l’artiste grecCHAPITRE XI« Dans l’atelier grec » L’artiste demiourgos La synthèse des arts Dans la forge d’HéphaïstosCHAPITRE XIIL’artiste et son modèle La quête du corps D’Aphrodite à PhrynéÉpilogueHellénisme et Hélènité Virginia Woolf : « sa propre langue, le grec » Vernon Lee : « Elle est l’esprit de l’Antiquité » H. D. : « Hélène reviendra »BibliographieIndexVous pouvez commander cet ouvrage:chez votre libraire auprès de FMSH-diffusion, 18-20, rue Robert Schuman, 94220 Charenton-le-PontDirectement en ligne sur le site : http://www.lcdpu.fr/ou auprès des ELLUG

Séminaire "Roland Barthes" 2013-2014

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ITEM-CNRSSÉMINAIRE ROLAND BARTHES2013-2014Claude Coste, Marie Gil, Éric MartyÉcole Normale Supérieure45, rue d’Ulm 75005 Paris14h-16hSalle Beckett7 décembre 2013: Patrice Maniglier (Paris Ouest): «L’ontologie du cinéma de Roland Barthes»18 janvier2014 : Tom Baldwin (Kent), «Sur Barthes sur Proust»15 février 2014: Guido Mattea Gallerani (Bologna), « Entretien et Hypertexte. De l’étude génétique des entretiens de Barthes à l’hypothèse d’une archive hypertextuelle. »22 mars 2014: Laurent Zimmermann (Paris Diderot), «Pas sans la poésie»5 avril2014 : journée des jeunes chercheurs(programme à préciser)17 mai 2014: Thomas clerc (Paris Ouest): «Le fascisme de la langue»

Lectures anachroniques des textes de l’Antiquité: théorie littéraire et sciences humaines (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 2 :Lectures anachroniques des textes de l’Antiquité: théorie littéraire et sciences humainesVendredi 22 novembre 2013, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsCoordination: Marie Daney de Marcillac, Sophie Rabau.Intervenants: Pierre Bayard, Marie Daney de Marcillac, Audrey Lecoeur, Sophie Rabau.L’objectif de cette séance est d’ouvrir le questionnement portant sur la rencontre entre les textes anciens et la théorie moderne aux sciences humaines. Il s’agira en effet d’interroger le type de lectures anachroniques que proposent certaines sciences humaines modernes des textes de l’Antiquité, en particulier la philosophie et la psychanalyse. Comment les commentaires et les usages des textes de l’Antiquité par ces deux dernières disciplines s’articulent-ils avec la théorie littéraire? La philosophie et la psychanalyse inventent-elles un type spécifique de lectures anachroniques ou s’inspirent-elles de ce qui est parfois pratiqué par la théorie littéraire? L’une des hypothèses que nous déploierons ici est que l’allégorie comme mode d’actualisation constitue un mode de lecture anachronique susceptible de circuler dans ces différents types de textes. Pourquoi l’allégorie apparaît-elle plus problématique dans les sciences humaines?Deux études de cas seront plus particulièrement développées: les lectures philosophiques de l’œuvre d’Homère ainsi que les lectures psychanalytiques de l’œuvre de Sophocle au XX e siècle. Ces dernières seront confrontées respectivement à la pratique des lectures allégoriques dès l’Antiquité ainsi qu’aux méthodes de lectures paradoxales inventées par Pierre Bayard de la littérature appliquée à la psychanalyse au plagiat par anticipation.Bibliographie:- Bayard, Pierre, Peut-on appliquer la littérature à la psychanalyse? Paris: Minuit, 2004, «Prologue», p.11-21, et chapitre «Freud et la littérature», p.23-34.- Bayard, Pierre, Demain est écrit . Paris: Minuit, 2005; voir la seconde partie: « L'hypothèse freudienne », p. 82-90.- Bayard, Pierre, Le Plagiat par anticipation . Paris: Minuit, 2009, chapitre «Pour une histoire littéraire autonome», p. 105-113.- Citton, Yves, Lire, interpréter, actualiser: pourquoi les études littéraires? Paris: Amsterdam, 2007, chapitre XIII, «Actualisations», p.265-278.NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l’ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.illustration: Pasolini, Œdipe roi (1967)

Comment construire une lecture allégorique? - Atelier (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 3 : AtelierComment construire une lecture allégorique ?Vendredi 13 décembre 2013, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsCoordination: Frédérique Fleck, Guillemette Mérot.L'interprétation allégorique donne à l'herméneute une liberté maximale, puisqu'elle l'invite à poser l'existence d'un sens caché qui prime sur le sens littéral. Est-il possible pour autant de construire n'importe quelle lecture allégorique à partir de n'importe quel texte?L'atelier proposera de poursuivre la réflexion menée par Sophie Rabau sur l'existence d'un donné textuel lors de la journée d'étude qui a clos l'an dernier le séminaire Anachronies . Sophie Rabau faisait le compte rendu d'expériences inspirées de celle de Stanley Fish (1) , qui interrogeaient la construction de commentaires littéraires à partir de fausses données contextuelles, en s'appuyant sur la parole d'autorité de l'enseignant.Notre corpus sera constitué de textes poétiques latins datant du Ier s. av. J.-C. au Ier s. apr. J.-C. A partir d'un document présentant succinctement les conceptions de l'allégorie à différentes époques, les participants seront libres, pour élaborer leur interprétation, de se mettre dans la peau du commentateur antique ou médiéval aussi bien que contemporain, qu'il soit philologue consciencieux ou exégète illuminé. Ces diverses propositions de lecture, rendues anonymes, seront mêlées à celles de critiques contemporains ou de commentateurs anciens. On s'interrogera à partir de là sur les conditions d'émergence des lectures allégoriques et leur ancrage historique, ainsi que sur l'existence d'un faisceau d'indices textuels qui les autorisent.(1) Stanley Fish, «Comment reconnaître un poème quand on en voit un?», Quand lire c’est faire. L’autorité des communautés interprétatives . Paris: Les Prairies ordinaires, coll. «Penser/Croiser», 2007, p.55-77.Bibliographie :- Todorov, Tzvetan, Symbolisme et interprétation . Paris: Seuil, coll. «Poétique», 1978; lire en particulier «Une interprétation opérationnelle: l’exégèse philologique», p.125-156, et «Quelques conclusions historiques et typologiques», p.157-164.NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l’ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.illustration: Lorenzo Lippi, Allégorie de la simulation (vers 1640)

De la phrase au récit: linguistique et narratologie (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 4 :De la phrase au récit : linguistique et narratologieVendredi 10 janvier 2014, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsCoordination: Lise Charles, Frédérique Fleck.Intervenants : Lise Charles, Frédérique Fleck, Nicolas Bertrand.Quand Gérard Genette, dans Figures III , a imaginé d'utiliser le mot "prolepse" pour désigner l'anticipation narrative, il s'est emparé d'un terme déjà employé en grammaire. De même lorsqu'il a repris "ellipse", l'un des termes à l'aide desquels Christian Metz décrivait le "hiatus diégétique" au cinéma, pour l'intégrer à son système de catégories narratologiques en -lepse et en -lipse . Le lien entre narratologie et sciences du langage n'a pourtant jamais été pensé, car ces termes, quand leur emploi est justifié, sont plutôt rapportés aux appellations des figures de rhétorique. En tentant de mettre en regard théorie du langage et théorie du récit, on se demandera si, en dépit des différences d'échelle, des similitudes existent entre les phénomènes qu'elles étudient.Bibliographie :- Genette, Gérard, Figures III . Paris: Seuil, coll. «Poétique», 1972; lire en particulier p.92-94 sur la paralipse dans "analepses", p.105-115 "prolepses", p.122-130 "anisochronies" et p.139-141 "ellipse".NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l’ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.

Qu'est-ce que la théorie? (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance inaugurale :Qu'est-ce que la théorie?Vendredi 11 octobre 2013, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsCoordination: Florian Pennanech, Sophie Rabau.Intervenants : Florian Pennanech, Sophie Rabau.Qu'est ce la théorie littéraire ? Ou plutôt suffit-il de dire le mot pour qu'aussitôt se lève, toute armée, une discipline enfin reconnue et appelée la théorie littéraire ? Si les définitions et les redéfinitions ne manquent pas, elles diffèrent assez pour que l'on s'en inquiète et surtout que l'on théorise la possibilité et la nécessité même de définir la théorie littéraire, de manière agressive ou rassurante, plurielle ou univoque, historique ou absolue, isolante ou unifiante. C'est cet effort que l'on essaiera d'esquisser pour, à défaut de lever les malentendus, du moins en dessiner les contours.Bibliographie :- "Théoriser, expérimenter: l'embarras des richesses dans le domaine des études littéraires", entretien d'Angela Braito avec Yves Citton , in Apprendre, enseigner, transmettre la théorie. Les sciences humaines au niveau universitaire , Mirella Vadean (dir.), Ontario: Mestengo Press, 2009; republié dans l' Atelier de théorie littéraire de Fabula .- Paul de Man, «The Resistance to Theory», in The Resistance to Theory . Minneapolis: University of Minnesota Press, 1986, p.3-4.- Tzvetan Todorov, «La quête du récit : le Graal», in Poétique de la prose . Paris: Seuil, 1971, p. 59-60.NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l’ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.

Anachronies: textes anciens et théories modernes (séminaire 2013-2014)

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«Anachronies: textes anciens et théories modernes»2013-2014Séminaire mensuel, le vendredi, de 16h à 18h.Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en partenariat avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaResponsables : B. Boulay, F. Fleck, N. Koble, S. Rabau.Organisation des séances : N. Bertrand, B. Boulay, L. Charles, M. Diarra, F. Fleck, N. Koble, M. de Marcillac, G. Mérot, A. Mussou, C. Paulian, S. Rabau.***** Les actes du séminaire sont progressivement mis en lignedans l’ Atelier de théorie littéraire de Fabula : Anachronies . ***** Anachronie n.f. 1. État de discordance temporelle entre le lecteur moderne et les textes anciens. 2. Œuvre participant de pratiques culturelles d'autres époques, révolues ou à venir. 3. Action de déplacer des notions, des catégories, des théories dans une époque différente de celle qui les a produites.Lorsque nous lisons les textes anciens à la lumière de théories modernes (théories littéraires, linguistiques, philosophiques, psychanalytiques…) et des concepts qui en sont tirés, nous pouvons légitimement éprouver une sensation d’anachronisme. Pourtant, l’ambition historienne de retrouver la réception contemporaine de la production de l’œuvre découle elle-même d’habitudes de lecture héritées de la philologie du XIX e siècle. De fait, la condamnation sans appel de l'anachronisme constitue aussi un mode de lecture anachronique et elle ne permet pas de rendre compte de cette spécificité de la lecture littéraire qui est de laisser jouer le fonctionnement intempestif de la mémoire.De leur côté, les théories se présentent souvent comme anhistoriques et comme autonomes par rapport aux textes qu’elles décrivent: ceux-ci n’auraient d’autre statut que celui d’exemples à visée illustrative dont, en droit, elles pourraient se passer. Toutefois, ce caractère achronique et purement déductif de la théorie est loin d’être évident, ne serait-ce que parce qu’une théorie en réactualise souvent une autre plus ancienne ou trouve son ancrage dans un certain climat intellectuel ou un certain type de textes historiquement datés. De ce point de vue, lire des textes anciens avec des théories modernes ne cesse de faire signe vers l'histoire ou vers un entremêlement d'histoires : histoire des textes et de leur transmission, histoire des lectures, histoire des théories.L’objet du séminaire n’est pas, cependant, de s’en tenir à une historicisation généralisée des interprétations, des théories et des textes. Il est plutôt, à la faveur de cet inconfort que constitue l'anachronisme, d’interroger quelques grandes notions souvent considérées comme allant de soi: la catégorisation par périodes de l’histoire littéraire ou de l’histoire de l’art, la notion de texte, l’étiquette de «texte ancien», le poids de l’autorité créative de l’auteur par rapport à celle du lecteur. L’anachronisme, rebaptisé «anachronie», devient ainsi une notion positive et féconde. Plutôt qu’un geste d’ignorance, l’anachronie sera l’occasion de s’intéresser à la relation entre le théoricien et le texte, d'installer la réflexion dans la distance temporelle et d'en faire le paradigme en quelque sorte grossissant des questions qui se posent à tout théoricien dès lors qu'il rencontre un corpus spécifique, à tout spécialiste d'une ère ou d'un moment littéraire dès lors qu'il rencontre la théorie: autorité du texte, transformation ou conservation du corpus, exemplarité, partage entre le donné et le construit dans l'élaboration des théories et l'appréhension des textes.*****Programme 2013-2014:Séance introductive, 11 octobre 2013: Qu'est-ce que la théorie? (16h, salle Cavaillès)Séance 2, 22 novembre 2013: Lectures anachroniques des textes de l’Antiquité: théorie littéraire et sciences humaines (16h, salle Cavaillès)Séance 3, 13 décembre 2013: Atelier: Comment construire une lecture allégorique? (16h, salle Cavaillès)Séance 4, 10 janvier 2014: De la phrase au récit: linguistique et narratologie (16h, salle Cavaillès)Séance 5, 7 février 2014: Quand y a-t-il littérature? (16h, salle Cavaillès)Séance 6, 7 mars 2014: Atelier: Lecture de textes de Walter Benjamin (16h, salle Cavaillès)Séance 7, 14 mars 2014: Atelier: Lecture de textes de Walter Benjamin (16h, salle Cavaillès)Séance 8, 21 mars 2014: Atelier: Lecture de textes de Walter Benjamin (16h, salle Cavaillès)Séance 9, 4 avril 2014: Atelier: la notion de transfictionnalité (16h, salle Cavaillès)Séance 10, 16 mai 2014: (16h, salle Cavaillès)*****Bibliographie générale:Charles, Michel, Introduction à l’étude des textes . Paris: Seuil, 1995; voir en particulier «Préambule» et «Principes: De la théorie à la méthode» p. 7-29 et p. 33-113.Didi-Huberman, Georges, Devant le temps. Histoire de l’art et anachronisme des images . Paris: Minuit, 2000; voir en particulier «Ouverture: L’histoire de l’art comme discipline anachronique» p. 9-55.Loraux, Nicole, «Éloge de l’anachronisme en histoire», Le Genre humain n°27, Éditions du Seuil, 1993, p. 23-39; repris dans Les Voies traversières de Nicole Loraux. Une helléniste à la croisée des sciences sociales , numéro commun EspacesTemps Les Cahiers n°87-88 et CLIO, Histoire Femmes et Sociétés , 2005, p. 127-139; repris aussi dans La Tragédie d’Athènes . Paris: Seuil, «La Librairie du XXI e siècle», 2005, p. 173-190.Rabau, Sophie (dir.), Dossier «Théorie littéraire et littérature ancienne: interpolation et lacune», Lalies 17, Actes des sessions de linguistique et de littérature , 1997, p. 101-213; voir en particulier l’«Introduction» de Sophie Rabau, p. 101-112.Schlanger, Judith, La Mémoire des œuvres . Lagrasse: Verdier, 2008; voir en particulier le chapitre 5: «Le passé pertinent», p. 120-142.Ressources en ligne ( Atelier de théorie littéraire de Fabula ):«Anachronies: textes anciens et théories modernes» (les actes du séminaire pour les années 2011-2012 et 2012-2013)«Sortir du temps: la littérature au risque du hors-temps» (séminaire organisé par Henri Garric et Sophie Rabau)«Théorie littéraire et/ou littérature antique» (Sophie Rabau)«Le plagiat par anticipation» (autour de l’article et du livre de Pierre Bayard) NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l'ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.illustration:Cy Twombly, Achilles Mourning the Death of Patroclus (1962)

Qu'est-ce que la théorie? (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance inaugurale :Qu'est-ce que la théorie?Vendredi 11 octobre 2013, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsCoordination: Florian Pennanech, Sophie Rabau.Intervenants : Florian Pennanech, Sophie Rabau.Qu'est ce la théorie littéraire ? Ou plutôt suffit-il de dire le mot pour qu'aussitôt se lève, toute armée, une discipline enfin reconnue et appelée la théorie littéraire ? Si les définitions et les redéfinitions ne manquent pas, elles diffèrent assez pour que l'on s'en inquiète et surtout que l'on théorise la possibilité et la nécessité même de définir la théorie littéraire, de manière agressive ou rassurante, plurielle ou univoque, historique ou absolue, isolante ou unifiante. C'est cet effort que l'on essaiera d'esquisser pour, à défaut de lever les malentendus, du moins en dessiner les contours.Bibliographie :- "Théoriser, expérimenter: l'embarras des richesses dans le domaine des études littéraires", entretien d'Angela Braito avec Yves Citton , in Apprendre, enseigner, transmettre la théorie. Les sciences humaines au niveau universitaire , Mirella Vadean (dir.), Ontario: Mestengo Press, 2009; republié dans l' Atelier de théorie littéraire de Fabula .- Paul de Man, «The Resistance to Theory», in The Resistance to Theory . Minneapolis: University of Minnesota Press, 1986, p.3-4.- Tzvetan Todorov, «La quête du récit : le Graal», in Poétique de la prose . Paris: Seuil, 1971, p. 59-60.NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l’ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.

Colloque Robert Marteau

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Colloque Robert Marteau9-10-11 octobre 2013Médiathèque André Labarrère, PauA la suite du séminaire de poésie contemporaine, le Centre de Recherches en Poétique et histoire littéraire de l'UPPA organise un colloque consacré à l'oeuvre du poète Robert Marteau à La Médiathèque de Pau du 10 au 11 octobre. Cet événement est associé à l'exposition de papiers, dessins et livres d'artistes réalisés par Jean-Louis Fauthoux en accompagnement à l'oeuvre du poète. L'exposition se tiendra au troisième étage de La Médiathèque André Labarrère, à Pau du 9 au 26 octobre 2013.Mercredi 9 octobre 201318h Vernissage de l’expositionJeudi 10 octobre 20138h30 accueilPrésidence: Jean-Yves Casanova8h50-9h30Sandrine Bédouret-Larraburu, La fable en tableaux.9h30-10h10 Jacques Darras (Amiens) : Robert Marteau, le sonnet comme un fleuve sans fin.PausePrésidence: Michel Bernier11h00-11h40 Thomas Pavel (Chicago) : Robert Marteau et le vers français.11h40-12h20 Michèle Monte (Toulon) : La syntaxe surprenante de Robert Marteau dans les recueils de sonnets.REPASPrésidence: Michèle Monte14h20-15h François Fédier (Neuilly-sur-Seine) : Il faut être résolument classique.15h-15h40 Jean-Yves Casanova (Pau) : Vers l’infini du livre. Continuité de la langue, de l’espace et du Tempsdans Dans l’herbe de Robert Marteau.PausePrésidence: Sandrine Bédouret16h30-17h10 Marie-Antoinette Laffont-Bissay (Pau) : lecture du Temps ordinaire : de la vue à la vision, entre "réflexivité" et "immémorial" pour une approche poétique du monde.17h10-17h50 Miguel Darrieumerlou (Pau) : Robert Marteau et la tauromachie.18h-19h30: table des poètesJacques Darras, Pierre Dubrunquez, Bernadette Engel-Roux, Jacques Lèbre, J.-F. Rollin, Jean-Loup Trassard, André Ughetto.Vendredi 11 octobre 2013Présidence: Thomas Pavel8h30-9h10 Gérard Fabre (Paris) : Robert Marteau et le Québec, l’oiseau qui fait son nid.9h10-9h50 Annick Allaigre (Paris) : Robert Marteau traducteur de l’espagnol.9h50- 10h30 Bernadette Engel-Roux (Pau) : L'âge d'or.PausePrésidence: Jacques Darras11h00-11h40 André Ughetto (Marseille) : ÉCRITURES et Grand Œuvre : l'alchimie intérieure de Robert Marteau.11h40-12h20 Jean-François Rollin (Paris) : Robert Marteau et l’alchimie.Projection du film Le poète et le peintre.DéjeunerAvec l’aide et le soutien de Mme Françoise Marteau-Chevenne, fille du poète, que nous remercions.http://mediatheques.agglo-pau.fr/userfiles/file/agenda/sept-oct2013.pdfhttp://mediatheques.agglo-pau.fr/userfiles/file/agenda/sept-oct2013.pdf

R. Robertson (dir.), Lessing and the German Enlightenment

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Lessing and the German Enlightenment Sous la direction de Ritchie RobertsonOxford : Voltaire Foundation, coll. "SVEC", 2013.EAN 9780729410775.332p.Prix 76EURPrésentation :Primarily celebrated for his dramatic works Minna von Barnhelm , Emilia Galotti and Nathan der Weise , Gotthold Ephraim Lessing’s diverse pursuits extended far beyond the stage. From incisive journalism to innovative reflections on poetry, aesthetics and theology, his wide-ranging intellectual interests place him firmly alongside contemporary polymaths such as Diderot. In this extensive study an international team of experts explores Lessing’s contribution to both the German and broader European Enlightenments to reveal:· the energy and acuity of his critical writing, which made him an exemplar for subsequent German authors;· the originality and lasting significance of Laocoon , his groundbreaking treatise on aesthetics, which distinguished the domains of poetry and the visual arts, and is still a major point of reference;· how his reflections on theology and the Bible helped shape a view of Christianity as a historical phenomenon without absolute truth;· how his Enlightenment curiosity and open-mindedness were nourished by an interest in natural science, particularly astronomy;· how activities such as his adaptation of English domestic tragedy and his translations of Diderot’s theatrical writings placed him at the heart of the pan- European Enlightenment.Ritchie Robertson, PrefaceNote on referencesH. B. Nisbet, Lessing’s achievementRomira Worvill, Lessing and the French EnlightenmentAlexander Košenina and Ritchie Robertson, Lessing as journalist and controversialistRichard E. Schade, Lessing’s poetryJohn T. Hamilton, Reception, gratitude and obligation: Lessing and the classical traditionJason Gaiger, The contemporaneity of Lessing’s aestheticsThomas Martinec, Lessing’s dramatic theoryFrancis Lamport, ‘Solcher Väter giebt es keinen mehr’: paternal authority in Lessing’s tragediesK. F. Hilliard, Lessing’s comediesJonathan M. Hess, Lessing and German–Jewish culture: a reappraisalAdam Sutcliffe, Lessing and tolerationDavid Hill, Enlightenment as a historical process: Ernst und Falk and Die Erziehung des MenschengeschlechtsChristoph Bultmann, Lessing and the BibleKarl S. Guthke, Lessing and scienceA chronology of the life and major works of Gotthold Ephraim LessingSummariesList of contributorsBibliographyIndexCollaborator list: Christoph Bultmann, University of Erfurt; Jason Gaiger, Ruskin School of Drawing and Fine Art, Oxford, and St Edmund Hall, Oxford; Karl S. Guthke, Harvard University; John T. Hamilton, Harvard University; Jonathan M. Hess, University of North Carolina, Chapel Hill; David Hill, University of Birmingham; K. F. Hilliard, St Peter’s College, Oxford; Alexander Košenina, Leibniz-Universität Hannover; Francis Lamport, Worcester College, Oxford; Thomas Martinec, University of Regensburg; H. B. Nisbet, University of Cambridge; Ritchie Robertson; The Queen’s College, Oxford; Richard E. Schade, University of Cincinnati; Adam Sutcliffe, King’s College London; Romira Worvill, Acadia University, Nova Scotia.Collaborator biographies: Ritchie Robertson is Taylor Professor of German at the University of Oxford, and a Fellow of the British Academy. A specialist on German literature from 1750 onwards, his research also encompasses the Enlightenment as an international movement. He is currently working on a study of Machiavelli’s reception in Germany from the eighteenth century to the early twentieth century.

Quand y a-t-il littérature? (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 5 :Quand y a-t-il littérature?Vendredi 7 février 2014, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsCoordination: Bérenger Boulay, Florian Pennanech.Intervenants : Bérenger Boulay, William Marx, Florian Pennanech.Depuis sa thèse intitulée Naissance de la critique moderne , consacrée aux figures tutélaires du formalisme, Valéry et Eliot, et jusqu’à son dernier volume, Le Tombeau d’Œdipe , William Marx ne cesse d’interroger et de remettre en cause nos représentations les plus courantes, nos présupposés les mieux enracinés et nos pratiques les plus familières. C’est dès son essai le plus décisif, L’Adieu à la littérature , qu'il laissait transparaître les inflexions majeures qui allaient orienter son travail actuel, autour de la définition même du fait littéraire et des usages qu’elle engage. On reviendra donc sur ces interrogations afin de se demander en quoi il y a, ou n’y a pas, quelque chose comme de la «littérature» dans l’Antiquité. La discussion avec William Marx portera alors sur les modalités historiques, anthropologiques et poétologiques selon lesquelles s’est constitué cet objet, évident pour les uns, mais à bien des égards énigmatique pour les autres.Bibliographie :- Florence Dupont, L’Invention de la littérature. De l’ivresse grecque au texte latin . Paris: La Découverte/Poche, 1998 [1994], notammentp. 7-25.- William Marx, L’Adieu à la littérature. Histoire d'une dévalorisation, XVIII e - XX e siècles . Paris: Les Éditions de Minuit, coll.«Paradoxe», 2005; voir en particulier le chapitre 4.- William Marx, Le Tombeau d’Œdipe. Pour une tragédie sans tragique . Paris: Les Éditions de Minuit, coll.«Paradoxes», 2012, p. 17-43 (voir aussi l’ introduction de cet ouvrage dans l’atelier de Fabula et un entretien publié sur Vox-Poetica).NB: La bibliographie est restreinte à dessein pour que les participants puissent prendre connaissance de l’ensemble de ces textes, qui serviront de base commune à la discussion.illustration: Jeune fille écrivant, dite Sapho (fresque de Pompéi)

Lecture de textes de W. Benjamin 1 (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 6 : AtelierLecture de textes de Walter Benjamin 1Vendredi 7 mars 2014, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsDans cette série de 3 séances - ateliers consécutives, nous proposons aux participants du séminaire de lire ensemble deux textes fondamentaux de Walter Benjamin afin de se les approprier. Il s’agit de deux textes théoriques dans lesquels la question du temps joue un rôle de premier plan et où l’on retrouvera plusieurs des problématiques abordées par ailleurs dans le séminaire cette année ou les années précédentes: «La tâche du traducteur» et «Le concept d’histoire».

Lecture de textes de W. Benjamin 2 (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 7 : AtelierLecture de textes de Walter Benjamin 2Vendredi 14 mars 2014, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsDans cette série de 3 séances - ateliers consécutives, nous proposons aux participants du séminaire de lire ensemble deux textes fondamentaux de Walter Benjamin afin de se les approprier. Il s’agit de deux textes théoriques dans lesquels la question du temps joue un rôle de premier plan et où l’on retrouvera plusieurs des problématiques abordées par ailleurs dans le séminaire cette année ou les années précédentes: «La tâche du traducteur» et «Le concept d’histoire».

Lecture de textes de W. Benjamin 3 (séminaire Anachronies)

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Séminaire «Anachronies: textes anciens et théories modernes»Séminaire transversalDSA - LILA (ENS), en collaboration avec l’ Atelier de théorie littéraire de FabulaLire les actes du séminaire dans l' Atelier de Fabula : Anachronies .Séance 8 : AtelierLecture de textes de Walter Benjamin 3Vendredi 21 mars 2014, 16h-18hENS, 45 rue d’Ulm, 75005 Parissalle CavaillèsDans cette série de 3 séances - ateliers consécutives, nous proposons aux participants du séminaire de lire ensemble deux textes fondamentaux de Walter Benjamin afin de se les approprier. Il s’agit de deux textes théoriques dans lesquels la question du temps joue un rôle de premier plan et où l’on retrouvera plusieurs des problématiques abordées par ailleurs dans le séminaire cette année ou les années précédentes: «La tâche du traducteur» et «Le concept d’histoire».

Entre théâtre et jeunesse: formes esthétiques d'un engagement

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APPEL A COMMUNICATIONS«ENTRE THEATRE ET JEUNESSE: FORMES ESTHETIQUES D’UN ENGAGEMENT»Colloque international organisé par Marie Bernanoce et Sandrine Le PorsArras les 3-4 avril 2014Grenoble les 10-11 avril 2014 Date limite de soumission des propositions de communication: le 15 décembre Il s’agit du premier colloque universitaire international consacré aux relations entre théâtre et jeunesse dans la triple sphère française, francophone et européenne.Depuis une vingtaine d’années, le théâtre destiné à la jeunesse, français, francophone et étranger en traduction française, est en pleine expansion: il s’est constitué en répertoire , les collections jeunesse se développant de façon considérable. Or, si ce répertoire gagne en vitalité, d’une part il modifie en profondeur le paysage des écritures théâtrales, d’autre part il tonifie la création scénique contemporaine au renouvellement de laquelle il participe activement, même si ses moyens de production doivent être interrogés (Reine Prat, Missions Egalités Arts du spectacle, Ministère de la Culture et de la Communication, DMDTS, mai 2009). Œuvrant à nous donner de nouvelles prises sur nos mondes, quels que soient notre âge et notre genre, par les sujets abordés mais surtout par les singulières expériences perceptives auxquelles il engage, ce répertoire contribue enfin à déclencher le débat au sein de la cité.Il s’agira d’étudier comment le rapport à la jeunesse correspond moins à une thématique qu’à un engagement dépassant le seul théâtre destiné aux jeunes et interrogeant à la fois le monde et le théâtre, la jeunesse et les adultes soucieux de regarder le monde tel qu’il va depuis l’enfance.In fine , cela reviendra à comprendre en quoi la relation à ce que Deleuze et Guattari ont pu appeler des «blocs d’enfance» ( Mille Plateaux , 1980) amène les différents acteurs du théâtre, et en premier les auteurs, à se positionner en termes éthiques et esthétiques, en particulier en ces temps d’après Shoah tels que les interrogeait Adorno. La jeunesse, dans les dramaturgies qui nous occupent, est donc un lieu d’écriture oscillant entre dimension ludique et tentative de se rappeler à la «tâche enfantine» (Giorgio Agamben, Enfance et histoire ) du théâtre, celle de regarder le monde quand bien même nous ne saurions pas dire encore ou nommer ce à quoi nous sommes confrontés. Apparaîtront ainsi des modes privilégiés de «détour» empruntés par le théâtre dans son rapport à l’enfance et au monde, dont Jean-Pierre Sarrazac a esquissé la voie dans La Parabole ou l’enfance du théâtre (Circé, 2002).Il s’agira par ailleurs de mettre en résonances des processus d’écriture et des pratiques culturelles diverses de façon à mieux cerner les enjeux actuellement à l’œuvre dans le développement de ce secteur du théâtre. De cette littérature dramatique, il reste en effet encore à prendre la mesure à l’échelle internationale – les traditions, les pratiques et les regards variant, on le sait, d’un pays à l’autre.Ce colloque proposera des apports d’universitaires spécialistes ou non de théâtre pour la jeunesse, que complèteront les réflexions de professionnels du théâtre (auteurs, éditeurs, traducteurs, metteurs en scène, responsables de structures).Plusieurs axes de réflexion donneront à ce colloque l’objectif transversal de ne pas isoler le théâtre pour les jeunes du contexte théâtral d’ensembleet de confronter ce dernier aux questionnements ouverts par le théâtre pour les jeunes.1. État des lieux comparé de l’édition, de la production et de la diffusion du théâtre à destination de la jeunesse en France, en Europe et dans le monde francophone.2. La situation esthétique et dramaturgique de ce théâtre dans le contexte théâtral d’ensemble.3. La situation éthique et géoéthique de ce théâtre dans le contexte théâtral d’ensemble.4. Les grands auteurs français, européens et francophones, et leurs rapports conjoints à l’engagement et aux formes esthétiques.5. Les grandes compagnies et les grandes structures françaises, francophones et européennes et leurs rapports conjoints à l’engagement et aux formes esthétiques.Ce colloque, dans sa structure duelle, s’inscrit dans le double prolongementdu colloque organisé en 2006 à l’Université Stendhal Grenoble 3 par Traverses 19-21 , composantes CEDILIT et E.CRI.RE, intitulé Enseigner le théâtre contemporain dont un des axes concernait le théâtre pour les jeunes et dont les actes ont été publiés (Brillant-Annequin Anick, Bernanoce Marie, [sous la dir. de], Enseigner le théâtre contemporain , SCEREN/CRDP de Grenoble, 2009),et du colloque organisé en 2011 à l’Université d’Artois par «Textes et cultures» (équipes «Littérature et cultures de l’enfance», Centre Robinson) et «Praxis et esthétique des arts»), intitulé «La représentation du jeu dans les écritures jeune public: repérages, contours et horizons d’un territoire» et dont les actes ont été publiés (Heulot-Petit Françoise, Le Pors Sandrine [sous la dir. de], Le Jeu dans les dramaturgies jeune public, Cahiers Robinson n° 32, Arras, 2012).Ce colloque témoignera ainsi de l’intérêt de ces deux universités et groupes de recherches pour le théâtre à destination des jeunes et, dans ce secteur, pour une pensée qui ne sépare pas les questions d’esthétique des questions d’éthique. L’édition des actes, envisagée de manière plurielle, contribuera à conférer au théâtre pour les jeunes toute la légitimité qui lui fait encore défaut du fait de son apparente spécialisation, en lui donnant cette juste place que la recherche universitaire est à même de circonscrire.Les propositions (1500 signes, espaces compris) comporteront un titre et un résumé ainsi que des mots-clés. Elles préciseront l’axe choisi et seront accompagnées d'une brève bio-bibliographie de l'auteur. Elles devront parvenir en format Word et PDF par courrier électronique à la fois à Marie Bernanoce ( marieber@club-internet.fr ) et à Sandrine Le Pors ( leporssandrine@gmail.com ).Réponse aux auteurs: le 15 janvier 2014.Comité scientifique: Catherine Ailloud-Nicolas (MCF, Université Lyon 1); Florence Baillet (PR, Paris 3, études germaniques); Pierre Banos-Ruf (MCF, Paris 10-Nanterre, éditeur); Marie Bernanoce (MCF, Université Stendhal Grenoble 3); Magali Brunel Ventura (MCF, UJF-ESPE Grenoble); Sylvie Chalaye (PR, Paris 3); Jonathan Châtel (directeur du Centre d'Etudes Théâtrales de l'UCL, metteur en scène); Michel Corvin (PR émérite, Paris 3); Joseph Danan (PR, Paris 3, auteur); Françoise Heulot-Petit (MCF, Université d’Artois); Geneviève Jolly (MCF HDR, Strasbourg); Yves Jubinville (UQAM, Montréal); Chantal Lapeyre-Desmaison (PR, Université d’Artois); Sandrine Le Pors (MCF, Université d’Artois); Mahmoud Mejri (MCF, Directeur de l’Institut Supérieur d’Art Dramatique de Tunis); Jean-Pierre Ryngaert (PR émérite, Paris 3, MEEC); Denise Schröpfer (MCF, Université de Cergy Pontoise,); Julie Valéro (MCF, Université Stendhal Grenoble3); Martial Poirson (PR, Université Stendhal Grenoble 3)Responsabilité scientifique : Marie Bernanoce et Sandrine Le PorsCoordination : Aude Astier (ATER, Université d’Artois) et Aurélie Coulon (ATER, Université Stendhal Grenoble 3)

Chateaubriand et le roi des Français 1830-1848 (conférence - débat)

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Conférence-débat :Chateaubriand et le roi des Français 1830-1848Après avoir donné en septembre 2009 une première conférence sur l’épineuse question des relations entretenues par Chateaubriand et les princes d’Orléans en abordant la période antérieure à la révolution de 1830, Hervé Robert examinera l’opposition personnelle et politique de Chateaubriand au roi des Français pendant son règne, et au-delà, jusqu’à son décès. Elle fut moins simple et uniforme qu’on ne le perçoit au premier regard, et évolua au fil des années. Louis-Philippe ne manqua jamais pour sa part de surveiller un adversaire aussi redoutable par la puissance de sa plume.Par Hervé Robert , magistrat et ancien chargé de conférences à l’École pratique des hautes études, auteur de L’Orléanisme et de La Monarchie de Juillet aux Presses universitaires de France, collection «Que sais-je?»Gratuit -Sur réservation au 01 55 52 13 00
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